Lt'^TUATIOli ECHOSbmsenlis.com/data/pdf/js/1872-1874/bms_js_1872_07_08_MRC.pdf · «îaurà què...

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43 ‘ i M i - R-J 4 . àj'Hïiv'/iw»;! > 1 > m it U L'AIM W M IIIT M ua BANi.n ; Va.^B............... H (r, fiiriM Ii. ..... 7 A* SUi^ < TrolffiD»ift;i^iii->;^l4.'>i>! . 4 ( 4 1 ^ ^ ^ >>} Li4ukLâUÛ{''f>^'h^^^ ; ; m :;. ‘ M-di.'t» ■. ü " -i,}- E j »A:Yira rxi.::’;sri* il B. COURTIER. iboDDMQeot est psvsble dVao^* B 4*di renouvelé bi k TeipiNtlM ‘o 1 !H, |>Wai.d»ra(»*dfrïf«»i i., ,„,r..|,„ , ,,.i, „.,'i En (kits divers, 50 e. iviinV u terrompa etlièl'considM Gomme ne donne pes d’svis cootnire. k 8ENUS, su Bureeu qii Jq| Et cheitous UUm: Lt'^TUATIOli < Qu| t(èui citntiditrè la grande conspU lytion de le 4rôileT Demandez» HerHbiee dduiui » 1 ^^ 7V ^ ‘ aj^pditaii ' avknt-llier k Patis jill^étf^Mrâilwara, que qûelqnes jotfraauzi eBeicux eti rediee'Az. ae sont etoipressés de Wcd«»|ii* W'Iéè l ^ e a l k d l . C*ési llriatofib grossit, grossît, Oqi<pl*^ foodo. 'U'ti8 «lb<d«^fa^e edt d«ik fondue. , Du, nutio,. iéa 4iirtea l é ^ de la dhreitè, HH. Salnt-Marc-Girardio >ei de Oro* tflè’fdh^^iitÿle. se i(oot ad^edéé t^e |)eif( o i^ M m e^-rtà^mes : . : )a M. *Ûriers ii*<i ^pas voulu oouS écott- tUr.''HVeit’d f o q v é 'd e d«Hs. DroMdiik<^!^ t^^ë niouk sommes bi^vcs'^ que uotis sdin- qes raneun^i. La raucune est une force . vin ipeKtjqiie. » 'Bl ilA'ont été trouver le rndrécfial ÀTaC' Habop : ^ « -^i Roüs voulms reawrser u! Thicrs, lui OBl'its dit c;ijT4^éot. Voidez-vdus être «M^béritier? Si U charge vook semble trop kmrde, ‘UMfs trous mettrez ii (rois ponr la ^ lte ÿ ,’'C*ysi fé qi/’dp àp)pelle un'lHdmviral. JL^^triOinvirats avaient beaucoup,dV sùcck -dqnb rantiqiiiiéi i.é']BéM 3 rat UdUiinitll et 'tfdinL Vous settic les é|iéos; .tl. dç Ilrogliè, ^î.^èseni, fiur» la pensée, et M. tliiers aura ilq.libeeté -de reloiirncrà ses cliers travaux IfiAtOriques. > if^'itnarécfMl'*i)ac*1!ah'^^ accéjùé; le u*a pas refusé; M, de :«Siin 4INuoa«Mnti k présider le cabinet filtur, ‘bVBfiBPdéliitlt;' ,oo aUHit ihm'vé‘dyttres* ,'|t^it^.de,bioi|tne,'vorooié, par celte exçèl- -éenie raidon:qoe.cbez B0U 8 jamais on por- 'MbMIèf'b prétodre'tt’attïiMiné tte'pienentb. 1^, voilk le (liéme sur Ic4j(uèl, déliàls -4ouB( joérs, radiçaux et oOicieu];, exeicent Ijés ubs sbnt irauiqnes, lès ' dont ibè'naçanis, tôus pleins de zélé cl ri’^ q ê n c e , ^«k'^toiidu, iiii '7 a |tss an< moi de 'yftH dèbb (6nl cèta. I.e général litibiil^tlli b>ngé au fameux (riiiipyîii'i; ■Je ttMfdeiml HaCrMabou ne s’est jaingis MlHgde ; il s’esi toiljiiluVa .;t||H l^ t£‘dii^'rdlë 'de sîinpiëi SdUfat . «nipfSrvice delà l^f^Hice; il ne restejilos ’^bMi trbimfvir, M. de Bro||lie.; mais, si e fl i^|]iM|lle que soit H " de Bh%tie, âs^rement pas t'a prétention Âlé -c«Mlitiieèi«n Jritimvirai -à lui tout senl. *' vérité, tesl iteanoOup plud simple. ^‘K ÿ ^ n i^ '.d ^ ié s 'i^' ïà ‘‘droite dUl < été è ^ ]4e «aoidclMil/Hec-Jk^aliôa:, .(>par; s’assofcr ^tlli '^SOD-soMioèrs :cn>/cas ifune >racabcq possible de la présidence de la République. Le maréciiai a répondu que dans ce cas il serait k la disposition de l’Assemblée ^oiir roainte^iê'lS)rdtré, èt tbot k été dit. Tel est le complot. C’est là-dessus que les tdBcieox et les radicati^ Se ‘sônt etnpnHés, pebsaitl sans déute qu’en jtolltiqne il cst toujours permis de calunnier ses adversaires, au risque d’agiter le pajs. Et comme, dsdb ée^mésfle, le bien sort souvent du mal, M. Tbicrs, crojrant, à tort ou à raison,'què la dfoite de d’Assemblée serait heureuse de son dépaVi, a pris la ferme résojutioo de ne plus s’en aller. ,11^e iW<>V>«!À^rapl,.,ii'J’aproiîis, li& tà , désm’mais classique,jIc la déroissloo, et ne laissera pas ,de nouveau lu pa^s entre le néant et lui seul. Ileaipiél, a-t-il aCttvmé, ^ à sacrifier scs idées flxus à son pouvoir, comine il sacrifiait jadis son pouvoir à ses < idées. , ! Ccsl de la sagesse, et tout le monde sait I ^ e c'est sArlOut de sagesse que nous àVcms besoin aujourd'hui. Nous pourrions en élTel modifier à noire profit le proverbe anglais, < et (trendre pour devise : << l.a sagesse est' dë rkf^éot. » ' S Tout dépend, a dît H. de .Rémùsfit! ‘dans.d’exposé des motifs du traité, de la! péhisaFn’Cc'du ndire'crédit, dit bon drdre de; ùds finaoccs, enfin de uoire sagesse. » Parbleul la Franceesfsage; ellecstlasse' d’agitations stériles; elle ne songé qu’à iré-' garer 'ses perles, à relever scs 'ruifiës, 'à ' payer,scs dettes, et. (tour ,y arriver, elle tra-' vaille. , .Les gouvernés sont sages; mais ceui qui tgouverneiir le SÜnt-ils toujeuvh?/ - . . . > Teiicz, par exëfnpic, FAssëmbtée al noôtmé des cduiihissalres clîàrgés 'd*oia‘,ÜU-, uer la nouvelle convention Franqài|{^-j wande. "I AésWéînënL le t^ité de n'o(fs d4nnV^s de grpnils avantagea; il ne cl(âggc guère ijis 'Conditions au prix •ilesquélles nous i avions àrhélé là '|iaix. Malk enfin, (|ii^ekpeHi 1 i-^td? Çroyall.'on que M. de Bismark, pour nplis . (aire plaisir, sans y être forcé, |>our nous périncllre de dous relever plus rite; nous' 'accorderait tout ce qnc^ndiiëdëihkridciftbiis? Ne sait-^a plus à qui.M. Tbicrs s’adressait? A'tt-otl’oublié qu’il'svait affaire, nOn A an i^bbvérnénieni'(-h'cVdIëVeéqbè, iWakis. à bii cf^ncter qui .comprend le commcréc^qui tient k être payé, et qui, élaul- le plus fortj regarderait comme uuc sottise dettoidulitai^ sif fles i^urifés niobihèrës cl iifi'mbbiiières qniiltti servent de garap||es? .. ! ; D’dllleursj ce i n il é est-il 'aussi innèSté Vèut blett le dtée? Il ^ M i ^ ' d'bd an. i’oçcMpa.ijon de deux depariemèq't^ c’^sj vrai; Mais cette clause est on avantage pMr nous. Que disait le traité de FrétàbfbrtT'Si au l*^ m an 1&74, les cinçj niilliariA'tt6|o,nt pàk jia^ét, la Prusse pebt •uvahir*de n i veau la France. U nouvelle qont^'^tiôti rq- cule d’un an ce terme fatal. N'esl-ce pas une facilité qu’on nous accorde? Car «afin il faut tout prévoir, une crise monétaire on toute autre éventualité^’ De plus, il dépend de’ndus de rehdre cette clause nulle en achevant de payer avant le terme. Tandis quVreeletrtntVde Francfort, la France eAt-ellepu payer (|pmain.lc« Irais derniers milHards de sa rauctois, la Prüsse n’en eût pas moins continué k éceoper six dépérteménls j 0si|n’en 'nriil^ 1874; d*apiéà le tfOuVeau traité, Péiaèliratidti d é j^ d abs^ lüÀ'ènt de nos paii^imnis. klle cérrëé|>ond gradoellemè'nt aux vérseménts que dqus'^I’ e- rons. Si demain, chose malfieureusemenl impossible, nous étions en mesure de comp ter à la Prusse trois milliards, l’évacuation demain serait complète. L’oceopalioU se restreindra en même temps que la dètlé. Eh ! bicb, c’est celle cënvenliôd'v 4^i O^est peut-être pas m'crvcîHeuBe, maîs’qui nous donne tout ce qu’elle pouvait , uom | donner^ c’csl pctlc, couveolÎMi qpç commissaires de.rla droite, nommés -ppurl l'examiner, ont critiquée vivemculdanB-lesi les bureaux. ' < Ils la voleront, ])arce qu'il sèi'atl.ànti-! pratique de uë pas la Vôtc?, et q'Ùlavani tôttt ils sont honnêtes gciis. Àl'ais il n'àurài'éot! pus été conicnls, s'ils n’uvaient pus iâit'tle^ l’opppsiiion dp couloirs s’ijs pç 8’çtaiêflil| pas livr^ dcrricro Ja.loilo.il) mapife^-j talions hostiles. . . La gauche,' au cmuqaMt.apprimvO'W traité; elle y met tuéme deT'dnlItouaiasntoJ ënifr(ùlèiilinbrèrassez'’êtê^ail(,ritti9iila ou se rappelle les cris qu’elle poussif fôb/. de la conclusion du traité de Frandfortj Èllc voulait aloira la, guerre à outrance,, la guerre sans soldats, sans canons, sans ar gent. C'est à outrance q l’elle, veut la paix aujourd'hui. Mais celte même gauche, qtii reproché avec raison h laliroite un mérontentèméht ëléHIe,'él k ibri un'complût imaginàirà,' cette méiite gauche ne pouvàtit éirc sage jusqu’au bout, engage M. tliiers à dissou; ..drç,J'Assemblée et Ini cousejlle une usur- ipalion grossière, un uoMveM> 2 Décembre. : C’e s t ainsi qu’on jolie l'inquiéludo ’dans le pays, le pays qui désire la iranquiL lilé et l'emprunt, et qui ne peut avoir l’cm- 'priiht sans la (ririquillKé. 'if côntenl[)le avec (ristessç.'tôuiés cei intrigues cl se dit: Tout cela, .ç'est pcul-élfo de fa poli tique; mais ce n'est certainement pa$de la sagesse. ' ' > ' . E . COURTIEU. ECHOS C’est H. le duc de Brt^e qui est nommé Mj^rteur du projet de loi portant approbaüoii deia convention avec l'Allemagne. Dans la comnuwioD, il «dstail deux courants bina distincts. L'un qui voulait un rapport contenant sinon des éloges, du moins des remerciMnents à l'adresse dè-U. le présidÀt de la R^Miquei l’autre ne désitant qu'un/apport tout sec» ' deBroglje âait le principal représentant de eotte.derniëre opinion. H a' été üé'mmé. r H. ThieiB n’a pas lieu d’être enchanté.de çqlteqqnunatiçn qui n’a é;é qplevé qu'à.^uit «îaurà què dÙ paip sec, au liM des c<mÛlui;ea qu’il désirait. .Quant a nous, nous ne d^roiis .ûp’unè Mgm ; c’«!t qu’op vote le iraiié puremni et ‘ ■mplemeot, sans phrases, sans i^riminatioiné,. apKfjcelère» comme une chose qu'on ne peut cmpficbef. ' Lsajoanaux étrangers, dMntéreseés dans le i 1 atté,eequi teqrpefVnelderappEéciéren tome iiiNrié èMspaÜi iai sout géoéiMailMat-ii*o« rables. Les jouroaux anglais surtout disent que si l'AHeoMne n'apas péché par (ropdegénerosilé, — oe n rat pas son dèfiiM, — du motos ettc bous a donué quelques adoucissements à nos maux. Iis se moquent agréablement do ces -malades -qoi soat tout surpris que le médecin n’ait pas à ledr service, une panacée capable de les re mettre sur pied pn quelques Iteuros. Il y a longtemps que le poète Horace a ré sumé tout cela eh latin -< .G'est dur, ^Éiiéshla italieocq nend suppor table cerqu’il ëslimpassiutedeoorriger. t Aimez-vous ^ nouvelles à'sensalipn? , Oi) a déjà parlé ici, dans /a SHualion, du (à• meiix triumvirat, dans lequel le maiédial Hac- Ualwn ^Çvuil ^fper le rôlede dupo. ^ , Or, sàvrz-vous ce qu'est devenu ce maréclial illustre, cet tiëmmé d’honneur, qiieses défaiies oit rendu plus grend.'quc ses victoiresl ., Le ma^échttl MsoVshon est arrête. Mon Dieu, oui! - i El qui l'a Tait arrêter? M. Thiers. ■' . > Et vçilà pu nq|uS;en pommes. Celle nouvelle a'cqurii.lès boulevards et de biAVesg&hil’ortt'crae.' ' - ............... l.a vérité, c’est que le marécbaf'devait attcr - 1 » tain, a. nn.^.itatataM->HiùuiU-.& toujours des gens âVsnrit, uni ne .Homeut na? bwmsire^ysétàihi^^^ ifélàs MiéIfasI'Bst-ée (loilUatnBi'qtjé^noiufÀnoiia préparons à l’ompruol? . - .Où en estron, àveclœ inlpôlsi? On n’avance guère vite. On en est encore à la discussion ^nérale sur les chiflre des aifaircs. •Pourqtfoi? • ParctiquoM. Thim a parlé pendant deux j p u m ^ l’impôt des matières premières 11 % parlé penilant dqux.jours, mais il n'a pas gà^è de teimiri. I M. Poujer-Quertira est venu à roaisfanx plua,de,succès. Sans H. Pouyer-Quertier, H. Thiersauràit été seul de son avis. 0 »aurait pualnsîrééumer les séances : ‘R. Thierff,.qui a II. Thiprs pour avant-gardr, ATI.:— . ------- ^ l'iiiepj po-y|. I a son secours, corpsd'armée, s'élahçàatiycôutféde M. fliiera. Nous avons déjà prouvé maintes fois, d’ac- cordicn'celi avec la Commission, r|ac ce fa meux im|)ôtinq produirait que six millions au '‘'Cc??®ISacci,ubi., Mais de plus, il e:tl maùVàis eh printipe — à tmoipp que nous.ne voultonsoous isoler du resté .-'de l’Europe,. Toutes les iraossctiops. commerciales en EurapB reposra;, ^iûau^'bqi sur le libre- échange et les tyaifés M 0 Qiqm<^- H s’iq(it de savirir si nous avons svpnlagp à jçqoünuer à faine notre partie dans ce ou si iiotro inléièt'Qous conseille dènous retirer k l’^ r t pour jouer un petit solo eptie compa- M. Tliicrs ^rette les diligencea; mais çe n’est pas une raison pour demander la suppree- siou des chemins de ter. Nouvelles de l’insurrection carliste en Espàgne. Au dire dee dépêches Ilavas, cinq cents Carlistes, qui avaient essayé de pénétror ei Tarégéne, viennent d’étre honteusement re^ Nous les sèupçonhons tout simplement d’être passés dans n coulisse pour se Ikire battre de nouveau, demain, par- un peloton de gen- : darmerie. ' Nous les râtrbuverous intacts dans quelques jours. Je vous donne cette petite nouvelle pour . Tous'monlrerque l’insurrectiQii oarhete existe encore. •% •’ ! " En ktiédda'nt, oh an’nohce le prochain vhyage “iff*RHiéflée daiis les prWiliCés dii'Nftid. A'propOs de ce voyage,-déiix souv^lrs i Eh f ^ , la reine'ClirisÜne parti de-Madrid, racort'ée de déiix eecadrOns; elle fût oMigée de venir én France; par Lisbonne: En 1808, sa'nlle, Isabelle était (rannuiHe-, rrieiit à Sàflnl-Sëbastien, lorique éclata l'Insur rection. Elle passa aussi en France; par lesFy- rénées. Btitre ces deux loutra, laquelle choisira AM^ée. Tout «^m lh mène hors d'Espagne. Nous avons retrouvé dans un vieux iiunéno' de fEsêaeikenL la phrase suivante : • , lAcliealepetiple, il abattrais CotoAiie'. |M)urea feiro des gros sons. * Quia écrit cela? Victor Hugo. Il était propliéte, quand 'il n'était jias radical. VnicI le passage Cité par l'Ecfarir d’Up di.';- cours tenu par'LUsàgaray darts uiigrénd Mêè- ting d'iuternàtionaqx à'Londres : '’ i ; — « Jlét.iis nié 'Hàxb, dit-il, doihme On airicnnit Ira ofagrài'fai eu d'abOrd .tih-iHém^t' de pitié; mais lé m’crt stüs' vite repetdi ’ct je. ni*çn tépcris éècore.' s ' * ' A qôatld Târtinirtle?* ' Quehiirwi d i^ l, hier, en vôyai^‘ '|u«er% . .de i^Qularï, miàis^ra des fiàaùceè ^ .dés im-> ■pûU. ' " ' ' , -Est-il Qosslble^qu’Ou,hom«nc.qiH,aîj( Tair si aimable soit iinmiiiistré aussi... ûnj^sapt. X.vY. Z. lD lt H $ I Ë t E $ ? W tiE S H pç faut pas s’attendre à -v 6ir loojoiirs très clair dans lesiafEaàrcs d'Espagne;«e né sônt lias Ucs affaires comme les autres. Quand ou en porte, oo pourrait dite au 'Icclbhr ce que Don Quichotte disait k son ' écuyer Sstocho : —c 11 tic faut pas l’cn rapporter ait té moignage de (es yeux; rien n’arrive dans ce pays d’une façon naturelle, et la plupart des choses que itu vois ne sc font qiic par en- ■chanleméili. » rl^i^é <;p.'|^paigitet Un Kalieb. dl à donc pas en Eejiagne de dynastie nàtîonafe? n - T^pdon, il y en k deiix; et ffëùx dyinasties q|iii peuvent a bon droit se pro clamer légitimes. ' Alors ‘ de ces 'deux ‘ dydàBtibs; o’eM^jwpiilairà? ~ Vèüà Todt titffiJjiéb’i A paysans des Castilles, delà Navariv;' rid''lk Càtali^ùc, dé l’Ai'agéiit drif ^iniiiéétl'lias* ques'^usdeni jusqi^atiTit^tftiqip^lëiH^ pect pour Dou' Carloà, et le ’niM 'èM llli; prost|ue tous les giondà "pr^^^4^^ îwrsoiiiiel dé Vancleaue ad^fffktrAèiM,^ M l nèbTékéë àpfÿnteniièbt alk Alrob30,filsdé'la'lÿlhc'lBjrt^lé.’’IM ikHé qué l’Eëfiàgné Aouàdoriqé TAriik|e 'l ^ ^ (aéle d’bh p'rinêé élè^hger'iilWlI'ièr'TëltiiMè d’un pÀÿé dà lës' 'èddhàWKià^'’'é(nri‘ K près tous restés fidèles aux deux brafieMék de la royaillé'b'àtidb^te. ■ . Mais qiiï'd.ônc àéjé chcrebéf^'âTdKAfe prince Amédéc ppîif t’instalter k Los uoionixt^ qui repr^entaj^ i^ n c d’fsabellè la nionarçAie liltéràtêV' ^ ^ pour arriver au rntnislèrc“bfif peuple k la révolution e n ' ' 4 n i fray^ de ce qu’ils avaient fait, |j*bkaki ] ^ proclamer la République, peu disjjMitô peler Isabelle qii’ils avaient contribi^Amas ser, ont oITert la côiironnek qui anrki(^|ë> ' dace de s'en coiffer d’ahord 'an Hohenzolléru, puis àii filHBë'ViéWfr MMM- Duel. ' • • Dans ce'eus; ' le Douveàtt raf’jgol^vWiie àveè Faide de nini^lreé ifiHMnflëk'? -i- Pas le moins du monde. i.,es uhiotilliti, ont rénVef^ Isabelle ponr'avMë- B H* berté et le jioUVdir ont pcul-étée'M'’libèrié, 'Miris h’oht Tasifé moii1drè"pOr(éfeirflM'‘l.e Chcfriü cahiiibt 'aciuel est 4h 'proErâWMe 'raidtoal. ••• ''k ,;.'.--- ■" Albw,' c W qiie les progretiineé 'éahx' ont H‘ - MftjHrild dauà'fil<'QKÉlMSktèt Eyréhr'ènCo're!.'Jë:VoHë ‘AriiIà biéta ^Ée tout était bizarre dans i f -inoUtë. LA'pariiMmionîste était leptdit^jMMa- fweux dans le parlement; ét'le naît avec fin’cahinél progireésirie MlHékl, qui s’appnyaifstir bnc minoritéliffiiMiA^ilia vingtaihcdc voix (j). ', . ; ..u Ainsi un roi étranger, quand*!}'ÿ'ë‘ des princes nationairx; un roi pen-a'lM é^yait ponV lui ni le peuple des villes, qiii êst rë- piiMic^in; ni le (jehplc dèd ^cattiydKae^ q ii est carliste, ni la noblesse, ni lehàot'ëlei^, ni les rdiictiolinaircs, ni lëA|irinéi|jà'ili'‘clieb dé l’aVmléc'qnl sont alfOhëlstés; un rol'|wr- Icméntairc qùr voulait gonVèitier àvèé’‘'la miriérilé de son'jiarlëment ;-4cllë'e8t II Id- lualion d’Amédéc en Espagne. 11 cbt àsstëstir un trône abquclH Htktiqae trois pléds. Il ya là un mlràcte d’é^MHMe. Comment peut il âë'sodténlVî Dàtt^ikiÀH* siOD seule des (farlis. Il ÿ a sept partis d.'ins la Fétiinéiilë : càV- listes; niodéri^'fusionl8tek, qb1 'itféAiféiil la règne de l'infant don AlfohM, ktr^' U getice 'dé sÔii oncle, lu duc de MonlpeoMer; FEÜILLETOÏd (ié) «Aman > bn trois divisions rbLi.!: -a* (AlqMràit .été coavonu »qu9 ISs.ipéoné ifiaeidavtircraâcQit d’abord» et .qu'spspite sif wPWra «t B^nislastei^ient' feu witef-*S5^ Ai M enés, a l lëé tr^ki^1luhri•. kféiftt dè fuir, i: 'A*^*®^^'*^voy«ge«raarrivateni /ky R îaiw.wu^ (la *trivière Sdè 'ntMoacomiQu iTfftto sya|qnj •nmonira urii ide I IWvànt '^tqw e chùlTibt"on 'W?àK^ilÂM<tîe‘grand»leux putour èe^ ^ilMMis 'las lAontaons venaient R’aosetrir ' -riJançr. ou'oaueir^.w «hlèiik ..M u JlH lM éiri, BRtta.MY.Yi Les saints vinrent apporter fratemel- lenenlauxvoMgeursIiarâsséslethé. U venaison, tkdelasagebouiUie/lesdamss ém'rAëiiéiient ‘Edith sous 'leuès -tamtes; ifiendarit que sir danidà: et (»«ôAea<<duj 'saiéntayèc révéqihe Nikd', muls 4a bui| •charmqptes femmes,!, ; .. i <1 .Quant A : Stanislas, ii, 4'4chqpx igjipspp^ ces seuls m ots daüs. iWeill% son ami^ . . . . . —rJe cours tÔdrs.'Voïlà 6 u prendre un !te<-Au revoir.' i ' ' Uë* terisien n'en futigaiment •véri U •Bapr-nuerf il passa sur le célèbre ponl d'Eoh(hCanyon, et sous 1^. rpçher sqsr iPoadÿldP/^it Ip .vue exerce y^e.j n%re ^scm ^ion la nuit à la c| I étoiles, auand cèllès-ci ée'Kénëtedt sur les miiKaras d<d ncëites'tt'éé 'filAulllâ aVgën- ^ s 'ra Ibh^'d'ablttfes sahstond. O inq‘iniriiiteà à]1rèâ,,'le litèrritVe'dépo sait 'SOUS un b iii^ n disdflet son léger ■coriuriie; et se plongeait laveA volupté idansileaovxdesde la rivièra Upe heureou deuxise passèrent A.tirer des coupes, comme si le. ^ isip ii ,pg,fut trouvé en.nleiqe iécole.Defigqyc;mai^ plaisir doit prendre fin» et Stdnislas ' coiirroHt Aux! 't&àillëtÜfeÛis bdA ém 'ffiaë âu’ii éullt Ve^jps'de tWnthéir ) ait ' Idéràp 'MOimWri. n- éé‘ diKgen dtMto’vèVM'Ara ‘HabitS'en exécutant untnervciUeuK'ploii- igeoB'qui l'amena au boril>du livatge.. Gomme il; allait ipreodre 'ÿied^ ‘«rtKqu'ff 'béatllt oprliléconteW i^Aiéti^dh^'^i^ll MdiErtésd'utië düditf dtii ‘eftrfàlt'tiè scht^cmg à une A rim ilel ‘ ! Il y avait là tri>itrdtiirdMui<(rA<(Mii»bell^ Véntfejpuls monideér ileuR*pèee et ma)- Aepneiieikc inanaAn rianq latioluigiiraidkar- quels on eût pu tailler trois ou quatre Irannets de grenadiers. — Bigre de bigre! fit le peintre quidis- inesa tète fut-edle sortie’dulseià aeq,qqts..pomme disait, m ppéte, qu'il jeta autour de lui un regard anxieux; M d'abâ^^H ën. D sfe crm alors lé jd&4 d'une hallucination, : ; :di^çroi«qucfjfài euqpieur,j>ei^-t-iL I Wottï'denvlHriA^'e P6ttn;<et'c' ^ dent qu'il est hanté >par -c«s-f fvieux manoirsdela Gernlanie;rcprèiki«ik no« vêtements. ' } En trente'ou quarante brasses, le Pu riëlèn se raj^procha de la foerge; itféb eetteibis, it-neut pab besoin de'énriti piqdièftérre pour aperceMoicjJes ours»lik etaièni occupés A retourner les poiüifadk ses vêtements avec l'habileté dé bld ‘pokéts ^consommés] -ils les flairaient les déchirsisntf . r- B i^ l ae dit le.pemtre, dl mis mès habita neufs ce r* ■laitMiirblMpaii.'’' ‘ I Ilia scèoerétait plus groteqque que dra|> ipat(qqe.,,Lea oursons, plapéfisur leuf posteneiir avec autant de KirAce nue Mârtlh dtir Jdrffln des Rlàriték'èl lës'pùReà de devant repHées'snr leur'pèifrinc^a^ ‘•***jent:ad|»lrer la. culotte et, 4a jaquettè tLetperefivaitaatsijHle'M ‘Adnstroeusf .mainurirpitai le ; feutre souciait pas de franchir celte.^diAtàjtce dans le costume primitif du'père Adam; la valle de sa:diAte» .<. / Quant,A essayer dq reprendre vête ments^ c'était scabreux. Les oursons pa- rôissaiéhf d’bssex bôbne composition; mais'leurs'père'et mère montraient pur instants des dents'.tellement longues et des griffes si biçn acérées que Stanislas; bien qu’il-éûtllAhfqlUhs‘Sa jeunesse des . leçons de savqto.. n'eut pas eiwie de sé ' meéù'fer avec de tels ennémisi'D'ailleurs, il manquait dé'savates. . ^ Et pourtant, songeait-il, je ne puis pas nager A pfrpétuité. L'attentiori ju ^ u ’alors distraite de la famille fourrée fut attirée par le bruit ■d'un nouveau plongeon:exécuté par l’in fortuné, bgigaeur. ^ pière fut la; pre mière à saluer sa réapparition par Un formidable grognéfnéht auquel tous'Ies membres de la société hepondirent à .l'unisson. Quel-concertl Du Wqgner! Stanislas disparut encore une fois, et bë révint sur leaù qu’Àu bord de l'autre rive; là ila'arrêta'poUrrespirer. 'iv Pe leur côté, les ours avaient quivi ses ,moUvement,8. voyant .reparaître, iU a’avaiicètent jusqu’au bord de l'eaü el semblèrent se consulter pour savoir's'ils traverseraient. Le père, plus hdrdi, fit t fçinqpu s(x pas,dans le lit. de la rivièrei Kabidas chercha des ykux un arbrij oteCtèur; il n’apér^t que des cactus hicuA. '' > ui«ni«, tatauuita ,fWta MB itauitaiita n u 'i d S k i t 1% 4hcaMMA«imtqp4ûr IsuqttroM i Mais Stanislas ne riait pas. Il y avait une bonne demi-heure de la rivière au camp des Mormone, et le Français ne se Wètdmoyiebt 11 prit sa course de ce pas> lourd, puai: imîS'ÿii/taW œi; *^Vik^>tM*vbtrsaeéll«Mi à ^ te s sëche&et «Aedt^eisttr.laméme.yâveiaiia, Stamslas dirigea son pas gyrinnastique vers I peintre. Ahl bigre de bigrel je suis fichu! s’écria'Të malhéüreuAfievbii du saVdtieri qui n'eut que le temps de sauter‘ddhs Icou. ' ^ '.li-J.',. . j Le W pa des purs témoigna sqn mécora- 'tcnteiMp^OngrOgUantComfhlé un'A4»lai$ 'qu Ba/léçacpt, puis il se prqnléba snr.'la berge ainsi due ferait dbé senlldbllëi.tani dis que sA fqmtne ét’seS e'àfants mom tàieht une gai-de semblable sur la rivè opposée. I ,-r Me voici atjssi bien gardé qu’A Mazas, pensa le Parisien; j v laisserai ma.j>eau et mes os. Eh voila uù bbid agréable! ! .Cependant l'heure gagnait, la !hOit jeun.. . Avec la nuit, le froid était vénti et pa- ralysait'les mouvements de Stanislas ; la situationdeTenaitdéplusenpIpàbrHiq'r'''' Au débuL il avait pu de temps % a& pren.di^.pied sur la rive,. reposer; mais maintenani -I: __ J- ___ J Au débuL il avait pü de temps A nôtre pren.dée.jiied sur la rive, y respirër e t,^ reposer; mais maintenant, uuSsiiôt ifuil faisait mine d'apprdcher.de' là berge, un membre de là (atnille poiluè Accourait, évidemment Avec l’intention de le serrer dans ses bras{ aiihables bêtes! On etiteiidait au lolH les rumeurà du camp Môrmoh, lésaboiémentsdes chiens, des. rires, des chants; (riais personne ^ ^ ip a s , fpréé de nager Sans '.felAche, de plorikeé à. toute minute, ne .pdtïVont - in(|uié(»rite. envahi^ijt^Bpq Ceréeau, tout .tôurbqlon- ,nait auidur' de mi ; la rlvi^'lûv pàra|sr sait iiriiridhile, ai les.ôurs, dêm esttj^ent brandis par>M (Ntbm trouMéeV,' |üi béiri- ibiaierit ei^utér amo ronde Aiqférn^é, fi « e n èao^ait.plûsclDmcôaàftié déhùL P.èn Apèréèymt A dém, heure dix; vin^,^èeût, des mitlféra ennh iian- sant en rond, et cherchant A l'entraîner dans un gouffre. Il avait la conscience de sa pcUb’jifHthiinè'i ü ^ttm ^hlihf4u’il'ne lui restait que deux chances aussi fu nestes l'unè que l'tititrei'vni se jeter entre les griffes de ses ennemis Alongues dents. :ou.wî*iqye(i’ i- ... ■- „;î . ,-.7 , .priu.àfrivait rnpidéMeii^ bropîllard enVàhlssaH ibm’ Je .ç ^ ’’ : -^é«>^:pbrr;,îl fut bjébtôt iîiaptSS rien distinÀer à d iï iMts, Cetté'brûVne'iûtêitae.aàèyS''M la raison du nq^èur ébiiiseffl im jiS aa^es froides èt hum ld^.ae^ Mm ^ membres se.çoritraC^ sàVa de Ae èramponriet à tfudl solide,et. nè rencoriffà, que fèau*'! jArije conyulsîtfetnept; ènfijq j l ^ .lond de rivière çt pérSt qç|i^$aB A . IbüRMtfrtiit."' (iMsuite au itrochdih nuMérd). LA «A'JPioNAlip" Compagnie d'ÀwunmèMiè prii IIB, l'INCSNI)! éUbliaà Annenne Coni dflGra»(moM(,f.>àù' q (I février 1 8ûo;sMpua sa M. 'Agtîill' 'gdn'éiRI ’à SEÿrLlB^fÔlïè)/ 'Rue SaiiilotGeoevièeè» i r UaRoi •! •-dellaiehé).iv,.,,.|...,,>,n«, liOi IV ntlniM ilo, Compagaie d’AilllriiiUÉiyk la vie. — AiMnifcea en e u de i^* Auunnces mlxtes.Bea(éaviifli«i

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43‘ i M i - R - J 4.àj'Hïiv'/iw»;! > 1 >

m i t U L ' A I M W M I I I TM ua BANi.n ;

V a.^B............... H (r,f iiriM Ii. . . . . . 7

A * S U i ^< TrolffiD»ift;i iii->; l4.'>i>! . 4 ( 4 1 ^ ^ ^ >>}

Li4ukLâUÛ{''f>^'h^^^; ; m : ; . ‘ M-di.'t» ■.ü"-i,}-

E j »A:Yira

r x i . : : ’; s r i *il

B. COURTIER.

iboDDMQeot est psvsble dVao^* B 4*di renouvelé bi k TeipiNtlM ‘oÂ

H É1 !H , |>W ai.d» ra(»*dfrïf«» i i., , „ , r . . | , „ , , , . i ,

„ . , ' i■ En (kits divers, 50 e.iviinV

u terrompa etlièl'considM Gomme ne donne pes d’svis cootnire.

k 8ENUS, su Bureeu qii Jq| E t cheitousU U m :

L t'^T U A T IO li

< Qu| t(èui citntiditrè la grande conspU lytion de le 4rôileT Demandez» HerHbiee d d u i u i »

1 7V ^ ‘ aj pditaii ' avknt-llier k Patis jill^étf^Mrâilwara, que qûelqnes jotfraauzi eBeicux eti rediee'Az. ae sont etoipressés de Wcd«»|ii* W'Iéè l^ e a lk d l. C*ési llriatofib

grossit, grossît,Oqi<pl*^ foodo.

'U'ti8«lb<d«^fa^e edt d«ik fondue.

, Du, nutio,. iéa 4iirtea l é ^ de la dhreitè, HH. Salnt-Marc-Girardio >ei de Oro* tflè’fdh^^iitÿle. se i(oot ad edéé t e |)eif( o i^ M m e^-rtà^mes :. : )a M. *Ûriers ii*<i pas voulu oouS écott- tUr.''HVeit’d fo q v é 'de d«Hs. DroMdiik< ! t ë niouk sommes bi^vcs'^ que uotis sdin- qes raneun^i. La raucune est une force

. vin ipeKtjqiie. »'Bl ilA'ont été trouver le rndrécfial ÀTaC'

Habop : ^« -^ i Roüs vou lm s re a w rse r u ! T h icrs,

lui OBl'its d it c ;ijT4^éot. Voidez-vdus être «M ^béritier? Si U charge vook sem ble trop km rde, ‘UMfs trous m ettrez ii (rois ponr la ^ l t e ÿ , ’'C*ysi f é qi/’dp àp)pelle un'lHdm viral. JL^^triOinvirats avaient beaucoup,dV sù c c k -dqnb ran tiq iiiié i i.é']BéM3rat U d U iin itll et 'tfdinL Vous settic les é|iéos; .tl. d ç Ilrogliè, ^ î . ^ è s e n i , fiur» la pensée, e t M. t l i i e r s aura ilq.libeeté -de re lo iirn c rà ses cliers travaux IfiAtOriques. >

if 'itnarécfMl'*i)ac*1!ah' accéjùé; le u*a pas refusé; M, de

:«Siin4INuoa«Mnti k présider le cabinet filtur, ‘bVBfiBPdéliitlt;' ,oo aUHit ihm'vé‘dyttres* ,'|t^it^.de,bioi|tne,'vorooié, par celte exçèl- -éenie raidon:qoe.cbez B0U8 jamais on por- 'MbMIèf'b prétodre'tt’attïiMiné tte'pienentb.

1 ^ , voilk le (liéme su r Ic4j(uèl, déliàls -4ouB( jo é rs , radiçaux e t oOicieu];, exeicent

Ijés u bs sbn t irau iqnes, lès ' dont ibè'naçanis, tôus pleins d e zélé cl ri’ q ê n c e ,

^«k'^toiidu, iiii '7 a |tss an< moi de 'yftH dèbb (6nl cèta. I.e général litibiil^tlli

b>ngé au fameux (riiiipyîii'i; ■Je ttMfdeiml HaCrMabou ne s’est jaingis

MlHgde ; il s’esi toiljiiluVa .;t||Hl^t£‘dii 'rdlë 'de sîinpiëi SdUfat.«nipfSrvice delà l f Hice; il ne restejilos ’ bMi trbimfvir, M. de Bro||lie.; mais, si

efl i^|]iM|lle que soit H " de Bh%tie, âs^rem ent pas t'a prétention Âlé

-c«Mlitiieèi«n Jritimvirai -à lui tout senl.* ' vérité, tesl iteanoOup plud simple. ‘K ÿ ^ n i^ '.d ^ i é s 'i^ ' ïà ‘‘droite dUl < été è ^

]4e «aoidclMil/Hec-Jk^aliôa:, .(>par; s’assofcr tlli '^SOD-soMioèrs :cn>/cas ifune > racabcq

possible de la présidence de la République. Le maréciiai a répondu que dans ce cas il serait k la disposition de l’Assemblée ^oiir roainte iê'lS)rdtré, èt tbot k été dit.

Tel est le complot.C’est là-dessus que les tdBcieox et les

radicati Se ‘sônt etnpnHés, pebsaitl sans déute qu’en jtolltiqne il cst toujours permis de calunnier ses adversaires, au risque d’agiter le pajs.

Et comme, dsdb ée^mésfle, le bien sort souvent du mal, M. Tbicrs, crojrant, à tort ou à raison,'què la dfoite de d’Assemblée serait heureuse de son dépaVi, a pris la ferme résojutioo de ne plus s’en aller. ,11 e iW < >V > «!À ^rapl,.,ii'J’a p r o iî is , l i & t à , désm’mais classique,jIc la déroissloo, et ne laissera pas ,de nouveau lu pa s entre le néant et lui seul. Ileaipiél, a-t-il aCttvmé, à sacrifier scs idées flxus à son pouvoir, comine il sacrifiait jadis son pouvoir à ses < idées. , !

Ccsl de la sagesse, et tout le monde sait I ^ e c'est sArlOut de sagesse que nous àVcms besoin aujourd'hui. Nous pourrions en élTel modifier à noire profit le proverbe anglais, < et (trendre pour devise : << l.a sagesse est' dë rkf^éot. » '

S Tout dépend, a dît H. de .Rémùsfit! ‘dans.d’exposé des motifs du traité, de la! péhisaFn’Cc'du ndire'crédit, dit bon drdre de; ùds finaoccs, enfin de uoire sagesse. »

Parbleul la Franceesfsage; ellecstlasse' d’agitations stériles; elle ne songé qu’à iré-' garer 'ses perles, à relever scs 'ruifiës, 'à ' payer,scs dettes, et. (tour ,y arriver, elle tra-' vaille. ,

.Les gouvernés sont sages; mais ceui qui tgouverneiir le SÜnt-ils toujeuvh?/ - . . . >

Teiicz, par exëfnpic, FAssëmbtée al noôtmé des cduiihissalres clîàrgés 'd*oia‘,ÜU-, uer la nouvelle convention Franqài|{^-j wande. " I

AésWéînënL le t^ité de n'o(fs d4nnV^s de grpnils avantagea; il ne cl(âggc guère ijis 'Conditions au prix •ilesquélles nous i avions àrhélé là '|iaix. Malk enfin, (|ii ekpeHi1i- td? Çroyall.'on que M. de Bismark, pour nplis

. (aire plaisir, sans y être forcé, |>our nous périncllre de dous relever plus rite; nous' 'accorderait tout ce qnc^ndiiëdëihkridciftbiis? Ne sait-^a plus à qui.M. Tbicrs s’adressait? A'tt-otl’oublié qu’il'svait affaire, nOn A an i^bbvérnénieni'(-h'cVdIëVeéqbè, iWakis. à bii cf^ncter qui .comprend le commcréc^qui tient k être payé, et qui, élaul- le plus fort j regarderait comme uuc sottise dettoidulitai sif fles i^urifés niobihèrës cl iifi'mbbiiières qniiltti servent de garap||es? .. ! ;

D’dllleursj ce in ilé est-il ' aussi innèSté Vèut blett le dtée? Il ^ M i^ ' d'bd

an. i’oçcMpa.ijon de deux depariemèq't c’ sj

vrai; Mais ce tte clause est on avantage pM r nous. Que disait le traité d e FrétàbfbrtT'Si au l*^ m a n 1&74, les cinçj n iilliariA 'tt6 |o,nt pàk jia^ét, la P russe pebt •uvahir*de n i ­veau la France. U nouvelle qont^'^tiôti rq - cu le d ’un an ce term e fatal. N 'esl-ce pas une facilité qu’on nous accorde? C ar «afin il faut tout prévoir, une cr ise m onétaire on

toute autre éventualité ’De plus, il dépend d e ’ndus d e re h d re cette

clause nulle en achevant de payer avant le term e. Tandis quV reele tr tn tV d e Francfort, la France eA t-ellepu payer (|pmain.lc« Irais dern ie rs milHards d e sa rauctois, la P rüsse n’en eû t p as m oins continué k éceoper six dépértem énls j 0si|n’en 'nriil^ 1 8 7 4 ; d*apiéà l e tfOuVeau traité, Péiaèliratidti d é j ^ d a b s ^ lüÀ 'ènt de nos paii^imnis. k lle cérrëé|>ond gradoellemè'nt aux vérsem énts qu e dqus'^I’e- rons. Si demain, chose m alfieureusemenl impossible, nous étions en m esure d e com p­te r à la Prusse tro is m illiards, l’évacuation dem ain serait complète. L’oceopalioU se restreindra en m ême tem ps que la dètlé.

E h ! bicb, c’est ce lle cënvenliôd'v 4^i O^est peut-être pas m'crvcîHeuBe, m aîs’qui nous donne tout ce qu’elle pouvait ,u o m | donner^ c’csl pctlc, couveolÎMi qpç commissaires de.rla d ro ite , nommés -ppurl l'examiner, o n t critiquée vivemculdanB-lesi les bureaux. ' <

Ils la voleront, ])arce qu 'il sè i'a tl.àn ti-! p ratique de u ë pas la Vôtc?, et q'Ùlavani tô ttt ils sont honnêtes gciis. Àl'ais il n'àurài'éot! pus été conicnls, s 'ils n ’uvaient pus iâit'tle^ l’opppsiiion dp c o u lo irs s’ijs p ç 8’çtaiêflil| pas l iv r^ dcrricro Ja.loilo.il) mapife^-j talions hostiles. . .

La gauche,' au cm uqaM t.apprim vO 'W tra ité ; elle y m et tuém e deT'dnlItouaiasntoJ

ënifr(ùlèiilinbrèrassez'’êtê^a il( ,ritti9 iila ou se rappelle les cris qu’elle p o u ss if fôb/. de la conclusion du tra ité de Frandfortj È llc voulait aloira la, guerre à outrance,, la g uerre sans soldats, sans canons, sans ar­g en t. C'est à ou trance q l’e l le , veut la paix aujourd'hui.

Mais ce lte m êm e gauche, qtii reproché avec raison h la liro ite un m érontentèm éht ë léH Ie,'é l k ibri u n 'co m p lû t imaginàirà,' cette méiite gauche n e pouvàtit é irc sage jusqu’au bout, engage M. t l i i e r s à d issou;

..drç,J'Assemblée e t Ini cousejlle une usur- ipalion grossière, un uoMveM> 2 Décembre. :

C’est ainsi qu ’on jo lie l'inquiéludo ’d ans le pays, le pays qui désire la iranquiL lilé e t l'em prunt, e t qui ne peut avoir l’cm - 'priiht sans la (ririquillKé.

'if côntenl[)le avec (ristessç.'tôuiés cei intrigues cl se dit:

Tout cela, .ç'est pcul-élfo d e fa poli­tique; m ais ce n 'e s t certainem ent pa$ d e la sagesse. ' ' >

' . E . COURTIEU.

ECHOSC’est H. le duc de Brt^e qui est nommé

Mj^rteur du projet de loi portant approbaüoii deia convention avec l'Allemagne.

Dans la comnuwioD, il «dstail deux courants bina distincts.

L'un qui voulait un rapport contenant sinon des éloges, du moins des remerciMnents à l'adresse dè-U. le présidÀt de la R^Miquei l’autre ne désitant qu'un/apport tout sec» '

deBroglje âait le principal représentant de eotte.derniëre opinion. H a' été üé'mmé. r H. ThieiB n’a pas lieu d’être enchanté.de çqlteqqnunatiçn qui n’a é;é qplevé qu'à.^uit

«îaurà què dÙ paip sec, au liM des c<mÛlui;ea qu’il désirait.

.Quant a nous, nous ne d^roiis .ûp’unè Mgm ; c’«!t qu’op vote le iraiié puremni et ‘ ■mplemeot, sans phrases, sans i^riminatioiné,. apKf jcelère» comme une chose qu'on ne peut cmpficbef.

' Lsajoanaux étrangers, dMntéreseés dans le i 1atté,eequi teqrpefVnelderappEéciéren tome iiiNrié èMspaÜi iai sout géoéiMailMat-ii*o« rables.

Les jouroaux anglais surtout disent que si l'AHeoMne n'apas péché par (ropdegénerosilé,— oe n rat pas son dèfiiM, — du motos ettc bous a donué quelques adoucissements à nos maux.

Iis se moquent agréablement do ces -malades -qoi soat tout surpris que le médecin n’ait pas à ledr service, une panacée capable de les re­mettre sur pied pn quelques Iteuros.

Il y a longtemps que le poète Horace a ré­sumé tout cela eh latin

-< .G'est dur, Éiiéshla italieocq nend suppor­table cerqu’il ëslimpassiutedeoorriger. t

Aimez-vous nouvelles à'sensalipn? ,Oi) a déjà parlé ici, dans /a SHualion, du (à •

meiix triumvirat, dans lequel le maiédial Hac- Ualwn Çvuil fper le rôle de dupo.

, Or, sàvrz-vous ce qu'est devenu ce maréclial illustre, cet tiëmmé d’honneur, qiieses défaiies oit rendu plus grend.'quc ses victoiresl ., Le ma échttl MsoVshon est arrête.

Mon Dieu, oui! - iEl qui l'a Tait arrêter?M. Thiers. ■ ' .

> Et vçilà pu nq|uS;en pommes.Celle nouvelle a'cqurii.lès boulevards et de

biAVesg&hil’ortt'crae.' ' - ...............l.a vérité, c’est que le marécbaf'devait attcr

- 1» tain, a . nn.^.itatataM->HiùuiU-.&toujours des gens âVsnrit, uni ne .Homeut na?b w m sire^ ysétà ih i^ ^ ^

ifélàs MiéIfasI'Bst-ée (loilUatnBi'qtjé noiufÀnoiia préparons à l’ompruol? .

- .Où en estron, àveclœ inlpôlsi?On n’avance guère vite. On en est encore à la

discussion ^nérale sur les chiflre des aifaircs. •Pourqtfoi? •ParctiquoM. Thim a parlé pendant deux

jp u m ^ l’impôt des matières premières 11% parlé penilant dqux.jours, mais il n'a pas

gà^è de teimiri.I M. Poujer-Quertira est venu à roaisfanx plua,de,succès.

Sans H. Pouyer-Quertier, H. Thiersauràit été seul de son avis.

0»aurait pualnsîrééumer les séances :‘R. Thierff,.qui a II. Thiprs pour avant-gardr,ATI.:—. -------^ l'iiiepj po-y|.

I a son secours,

corpsd'armée, s'élahçàatiycôutféde M. fliiera.

Nous avons déjà prouvé maintes fois, d’ac- cordicn'celi avec la Commission, r|ac ce fa­meux im|)ôtinq produirait que six millions au

' ‘'C c ? ? ® I S a c c i , u b i . ,Mais de plus, il e:tl maùVàis eh printipe — à

tmoipp que nous.ne voultonsoous isoler du resté .-'de l’Europe,.

Toutes les iraossctiops. commerciales en EurapB reposra;, iûau 'bqi sur le libre- échange et les tyaifés M 0Qiqm< -

H s’iq(it de savirir si nous avons svpnlagp à jçqoünuer à faine notre partie dans ce ou si iiotro inléièt'Qous conseille dènous retirer k l’ r t pour jouer un petit solo eptie compa-

M. Tliicrs ^rette les diligencea; mais çe n’est pas une raison pour demander la suppree- siou des chemins de ter.

Nouvelles de l’insurrection carliste en Espàgne.

Au dire dee dépêches Ilavas, cinq cents Carlistes, qui avaient essayé de pénétror ei Tarégéne, viennent d’étre honteusement re

Nous les sèupçonhons tout simplement d ’être passés dans n coulisse pour se Ikire battre de nouveau, demain, par- un peloton de gen- : darmerie. '

Nous les râtrbuverous intacts dans quelques jours.

Je vous donne cette petite nouvelle pour . Tous'monlrerque l’insurrectiQii oarhete existe encore.

•% ■ •’ ! " En ktiédda'nt, oh an’nohce le prochain vhyage “iff*RHiéflée daiis les prWiliCés dii'Nftid. ‘

A'propOs de ce voyage,-déiix souv^lrs i Eh f ^ , la reine'ClirisÜne parti de-Madrid,

racort'ée de déiix eecadrOns; elle fût oMigée de venir én France; par Lisbonne:

En 1808, sa 'n lle , Isabelle était (rannuiHe-, rrieiit à Sàflnl-Sëbastien, lorique éclata l'Insur­rection. Elle passa aussi en France; par lesFy- rénées.

Btitre ces deux lo u tra , laquelle choisira AM^ée.

Tout « ^ m lh mène hors d'Espagne.

Nous avons retrouvé dans un vieux iiunéno' de fEsêaeikenL la phrase suivante : • ,

— lAcliealepetiple, il abattrais CotoAiie'. |M)urea feiro des gros sons. *

Quia écrit cela?Victor Hugo. Il était propliéte, quand 'il

n'était jias radical.

VnicI le passage Cité par l'Ecfarir d’Up di.';- cours tenu par'LUsàgaray darts uiigrénd Mêè- ting d'iuternàtionaqx à'Londres : ' ’ i ;

— « Jlét.iis nié 'Hàxb, dit-il, doihme On airicnnit Ira ofagrài'fai eu d'abOrd .tih-iHém ^t' de pitié; mais l é m’crt stüs' vite repetdi ’ct je. ni*çn tépcris éècore.' s ■ ' * '

A qôatld Târtinirtle?* '

Quehiirwi d i ^ l , hier, en vôyai^‘ '|u « e r% . .de i^Qularï, miàis^ra des fiàaùceè ^ .dés im-> ■pûU. ' " ' ' ■ ■ ,

-Est-il Qosslble^qu’Ou,hom«nc.qiH,aîj( Tair si aimable soit iinmiiiistré aussi... ûnj^sapt.

X.vY. Z.

l D l t H $ I Ë t E $ ? W t i E SH pç faut pas s’attendre à -v6ir loojoiirs

très clair dans lesiafEaàrcs d'Espagne;«e né sônt lias Ucs affaires comme les autres.

Quand ou en porte, oo pourrait dite au 'Icclbhr ce que Don Quichotte disait k son

' écuyer Sstocho :— c 11 tic faut pas l’cn rapporter ait té­

moignage de (es yeux; rien n’arrive dans ce pays d’une façon naturelle, et la plupart des choses que itu vois ne sc font qiic par en- ■chanleméili. »

rl i é <;p.'| paigitet Un Kalieb. dl à donc pas en Eejiagne de dynastie

nàtîonafe? n- T^pdon, il y en k deiix; et ffëùx dyinasties q|iii peuvent a bon droit se pro­clamer légitimes.

' A lors ‘ de ces 'deux ‘ dydàBtibs;o’eM^jwpiilairà? ~ Vèüà Todt titffiJjiéb’i A paysans des Castilles, d e là Navariv;' rid ''lk C àtali^ùc, dé l’Ai'agéiit drif ^ in iiiéé tl'l ia s* q u es '^ u sd e n i jusqi^atiTit^tftiqip^lëiH^ pect pour Dou' Carloà, et le ’n iM 'è M llli;

prost|ue tous les giondà "pr^^^4^ ^îwrsoiiiiel dé Vancleaue ad^fffktrAèiM,^ M l

nèbTékéë àpfÿnten iièb t alk A lro b 3 0 ,f ilsd é 'la 'lÿ lh c 'lB jrt^ lé .’’IM ikH é qué l’Eëfiàgné Aouàdoriqé T A riik |e ' l ^ ^ (aéle d ’bh p'rinêé élè^hger'iilWlI'ièr'TëltiiMè d’un pÀÿé d à lës' 'èddhàWKià^'’'é(nri‘ K près tous restés fidèles aux deux brafieMék de la royaillé'b'àtidb^te. ■ ■

. M ais qiiï'd.ônc àé jé ch creb é f^ 'âT d K A fe prince Amédéc ppîif t’instalter k Los u o io n ix t^ qui r e p r ^ e n t a j ^ i ^ n c d ’fsabellè la nionarçAie liltéràtêV' ^ pour arriver au rntnislèrc“ bfif peuple k la révolution e n ' ' 4 n i f r a y ^ de ce qu’ils avaient fait, |j*bkaki ] ^ proclam er la République, peu disjjMitô peler Isabelle qii’ils avaient co n trib i^ A m as­ser, ont oITert la côiironnek qui a n rk i(^ |ë>

' dace de s 'en coiffer d ’ahord 'an Hohenzolléru, puis àii filHBë'ViéWfr M M M - Duel. ' • •

D ans c e 'e u s ; ' le Douveàtt r a f ’jgol^vWiie àveè Faide de n in i^lreé ifiHMnflëk'? - i - Pas le m oins du monde. i.,es u h io tilliti ,

on t rénV ef^ Isabelle ponr'avM ë- B H* berté et le jioUVdir ont pcul-étée'M '’libèrié , 'Miris h’oh t T asifé moii1drè"pOr(éfeirflM ' ‘l.e Chcfriü cahiiibt 'aciuel est 4 h 'proErâW M e 'raidtoal. ••• ''k ,;.'.---

■" Albw,' c W qiie les p ro g re tiin eé 'éa h x ' on t H ‘- MftjHrild dauà'fil<'QKÉlMSktèt

Eyréhr'ènCo're!.'Jë:VoHë ‘AriiIà biéta ^Ée tout était bizarre dans i f

-inoUtë. LA'pariiMmionîste était leptdit^jMMa- fweux dans le parlem ent; é t 'le naît avec fin’ cahinél progireésirie MlHékl, qui s’appnyaifstir bnc minoritéliffiiMiA^ilia v in g ta ih cd c voix ( j) . ' , . ; ..u

Ainsi un roi étranger, q u an d * !} 'ÿ 'ë ‘ des princes nationairx; un roi p e n - a 'lM é ^ y a i t ponV lui ni le peuple des villes, qiii ê s t rë- piiMic^in; ni le (jehplc dèd ^cattiydKae^ q i i est carliste , ni la noblesse, ni le h à o t 'ë le i^ , ni les rdiictiolinaircs, ni lëA|irinéi|jà'ili'‘clieb d é l’aVmléc'qnl sont alfOhëlstés; un ro l '|w r- Icm éntairc q ù r voulait gonVèitier àvèé’‘'la m iriérilé de son 'jiarlëm ent ;-4cllë'e8t II Id- lualion d ’Amédéc en Espagne.

11 cbt àsstëstir un trône abquclH Htktiqae trois pléds. Il y a là un m lràcte d’é^MHMe.

Comment peut il âë'sodténlVî Dàtt^ikiÀH* siOD seule des (farlis.

Il ÿ a sept partis d.'ins la Fétiinéiilë : càV- liste s ; niodéri^'fusionl8tek, qb1 'itféAiféiil la règne d e l'infant don AlfohM , k tr^ ' U getice 'dé sÔii oncle, lu duc de M onlpeoMer;

FEÜILLETOÏd (ié)

«A man >bn t r o is d iv isions

r b L i . ! :

-a* (AlqMràit .été coavonu »qu9 ISs.ipéoné ifiaeidavtircraâcQit d’abord» et .qu'spspite sif

wPWra «t B^nislastei^ient' feuw i t e f - * S 5 ^

A i M e n é s , a l lëé tr^ki^1luhri•.kféiftt dè fuir,

i: 'A * ^ * ® ^ ^ '* ^ v o y « g e « r a a r r i v a t e n i ’/ k y R îaiw.w u^ (la *trivière Sdè

'ntM oacom iQ uiTfftto sy a |q n j•nm onira

urii ide IIW vàn t '^ t q w e chù lT ib t"on

'W ?àK ^il M <tîe‘g ra n d » le u x p u to u r è e ^^ilMMis 'las lA on taons v en a ien t R’aosetrir ' - r iJa n ç r . o u 'o a u e i r ^ . w «hlèiik

. . M u J lH lM é ir i , BRtta.MY.Yi

Les saints vinrent apporter fratemel- lenenlauxvoMgeursIiarâsséslethé. U venaison, tkdelasagebouiUie/lesdamss

ém'rAëiiéiient ‘E d i th s o u s 'le u è s -tamtes; ifiendarit q u e s i r danidà: e t (»«ôAea<<duj 's a ié n ta y è c révéqihe N ik d ', m u ls 4 a b u i| •ch a rm q p tes fem m es,!, ; .. i<1 .Q u a n t A : S ta n is la s , ii, 4'4chqpx igjipspp^ ces seu ls m o ts d a ü s . iW eill% so n ami^ . . . . .

—r J e co u rs tÔ d rs . 'V o ï là

6u p re n d re u n!te<-Au re v o ir .' i

' ' Uë* te r is ie n n 'en fu t ig a im e n t •v é r i U •B a p r-n u e rf il p a ssa s u r le cé lèb re p o n l d 'E o h (h C a n y o n , e t s o u s 1 . rp ç h e r sqsr iPoadÿldP/^it Ip .vue exerce y^e.j n%re ^ s c m ^ io n la n u i t à la c|

I éto iles, a u a n d cèllès-ci ée'Kénëtedt s u r les m iiK aras d<d ncë ite s 'tt 'é é 'filA u lllâ aVgën- ^ s ' r a Ib h ^ 'd 'ab lttfe s s a h s to n d .’ O in q ‘in iriiiteà à]1rèâ,,'le litèrritVe'dépo­s a i t 'SOUS u n b i i i ^ n disdflet s o n lég e r ■coriuriie; e t se p lo n g ea it laveA v o lu p té idansileaovxdesde la r iv iè ra

U p e h e u r e o u d eu x ise p a s sè re n t A.tirer d es co u p es, co m m e s i le. ^ i s i p i i ,p g ,fu t tro u v é e n .n le iq e ié c o le .D e f ig q y c ;m a i^ p la is ir d o it p re n d re fin» e t S td n is las ' coiirroHt Aux! 't&àillëtÜfeÛis bd A ém 'ff iaë â u ’ii éu llt V e ^ jp s 'd e tWnthéir ) a it ' Idéràp'MOimWri. n - é é ‘ diK gen dtMto’vèVM'Ara‘HabitS'e n e x é c u ta n t un tnervc iU euK 'p lo ii- igeoB 'qui l 'a m e n a au boril>du livatge..

G om m e il; a lla it ip reo d re 'ÿied^ ‘«rtKqu'ff

'béatllt o p r lilé c o n te W i^ A ié ti^ d h ^ '^ i^ ll M diE rtésd 'u tië d ü d i t f d tii ‘e f t r f à l t ' t i è scht^cm g à u n e A r im i l e l ‘ ‘ !

I l y av a it là tri>itrdtiirdMui<(rA<(Mii»bell^ V én tfejpu ls m o n id eér ileuR*pèee e t ma)- Aepneiieikc inanaA n rian q latioluigiiraidkar- q u e ls o n e û t pu ta i l le r t ro is o u q u a tre Iran n ets d e g re n ad iers.

— B ig re d e b ig re ! f it le p e in tre q u id is-

in e s a tè te fut-edle s o r t ie ’d u ls e ià aeq ,q q ts..p o m m e d isait, m ppéte , q u 'il j e ta a u to u r de lu i u n re g a rd a n x ie u x ; M d 'a b â ^ ^ H ë n . D sfe c rm a lo rs lé jd & 4 d 'u n e h allu c in a tio n , : ;

:d i^ç ro i«qucfjfài eu q p ieu r,j> ei^ -t- iLI

W ottï'denvlHriA^'e P 6 t tn ;< e t 'c ' ^d e n t qu 'il e s t h a n té >par -c«s-f

fvieux m a n o irs d e la G ern lan ie ;rcp rè ik i« ik no« v ê te m e n ts. ' }

E n tre n te 'o u q u a ra n te b ra s se s , le P u rië lèn se ra j^procha de la foerge; itféb e e t te ib is , i t -n e u t pab besoin d e 'é n r i t i p iqd ièftérre p o u r aperceMoicjJes o u rs » lik e ta iè n i occupés A re to u rn e r les po iü ifadk ses v ê tem en ts avec l 'h ab ile té dé b ld ‘p o k é ts ^consom m és] -ils les flairaien t le s d éc h irs isn tf .

r - B i ^ l ae d it le .p e m tre , d l m is m ès h ab ita n eu fs ce r* ■laitMiirblMpaii.'’' ‘I I l i a scèoeré ta it p lu s gro teqque q u e dra|> ip a t(q q e .,,L ea o u rso n s , p la p é f is u r leu f p o s te n e iir av e c a u ta n t d e KirAce nue M â r tlh dtir Jd rffln d es R làriték 'èl lës'pùReà d e d ev a n t re p H ée s 'sn r l e u r 'p è i f r i n c ^ a ^ ‘•***jent:ad|»lrer la. cu lo tte et, 4 a ja q u e ttè

tLetperefivaitaatsijHle'M ‘Adnstroeusf .mainurirpitai le ; feutre

souciait p a s de fra n c h ir celte.^diA tàjtce d a n s le co stu m e p rim itif d u 'p è r e A dam ; la v a l l e d e sa:diA te» .<. /

Q uant,A essa y e r dq re p re n d re vête­m ents^ c 'é ta it sca b reu x . L e s o u rso n s pa- rô issa iéh f d ’bssex b ô b n e co m p o sitio n ; m a is 'le u rs 'p è re 'e t m ère m o n tra ie n t p u r in s ta n ts d es d en ts '.te llem en t lon g u es e t des griffes si b içn acérées q u e S ta n isla s ; b ien q u ’il-éû tllA hfqlU hs‘Sa jeu n e sse des

. leçons de savqto.. n 'e u t p a s eiw ie d e sé ' m eéù 'fer avec de te ls en n é m isi'D 'a illeu rs , il m a n q u a it d é 'sa v a tes . .

^ E t p o u rta n t , songea it-il, je n e p u is p a s n ag e r A p frp é tu ité .

L 'a tten tio ri j u ^ u ’a lo rs d is tr a i te de la fam ille fo u rré e fu t a ttiré e p a r le b ru i t

■d'un n o u v ea u p longeon :exécu té p a r l’in ­fo rtuné , b g ig ae u r. ^ p iè re fu t la; p re ­m ière à sa lu e r s a ré a p p a r itio n p a r Unfo rm idab le g rognéfnéh t au q u e l to u s 'Ie s m em b re s d e la société h epond iren t à .l 'u n isso n . Q u e l-co n ce rtl D u W q g n e r!

S ta n is la s d isp a ru t encore u n e fois, et b ë ré v in t s u r l e a ù q u ’Àu b o rd d e l 'a u tre r iv e ; là ila 'a r rê ta 'p o U rre s p ire r .

'iv P e leu r cô té , les o u rs a v a ie n t quivi ses ,m oUvem ent,8. v o y a n t .re p ara ître , iU a’a v a iic è ten t ju sq u ’a u b o rd d e l'ea ü e l s em b lèren t se c o n su lte r p o u r s a v o ir 's 'i ls tra v e rse ra ie n t . L e p è re , p lu s h d rd i, fit

tfç in q p u s(x p as ,d a n s le lit. d e la riv ière i K a b id a s ch erch a d e s y k u x u n arb rij o teC tèur; il n ’a p é r ^ t q u e d es c a c tu s hicuA. ' ' >

ui«ni«, tatauuita ,fWta MB itauitaiita n u 'id S k it 1%4 h ca M M A « im tq p 4 û r Is u q t t ro M i

M ais S ta n is la s n e ria i t p a s . Il y av a it u n e b o n n e d em i-h eu re de la riv iè re au c a m p d e s M o rm one, e t le F ra n ç a is ne se

W è td m o y ie b t11 p r i t s a course de ce pas> lo u rd , puai:

i m î S ' ÿ i i / t a W œ i ;*^Vik^>tM*vbtrsaeéll«Mi à ^ t e s sëc h e& et « A ed t^e is ttr.lam ém e.yâve ia iia , S ta m sla s d ir ig e a so n p a s gyrinnastique v e r s I p e in tre .

A h l b ig re de b ig re l j e su is fichu!

s’écria'Të m alhéüreuA fievbii d u saV dtieri q u i n 'e u t q u e le te m p s d e s a u t e r ‘d d h s Ic o u . ' '.li-J.',. . j

L e W p a des p u rs tém o ig n a sqn mécora- 'tcnteiM p^OngrO gUantCom fhlé un 'A 4» lai$ 'qu B a /léça cp t, p u is il se p rq n lé b a sn r . 'la berge a in s i d u e fe ra i t d b é sen lld b llë i.ta n i d is q u e sA fqm tne é t ’seS e'à fan ts m o m tà ie h t u n e gai-de sem blab le s u r la riv è opposée . I

, - r M e voici atjssi b ien gard é q u ’A M azas, p e n sa le P a r is ie n ; j v la issera i m a.j>eau e t m es os. E h voila u ù bbid ag réab le ! !

.C ependant l 'h eu re g ag n a it, la !hOit

je u n . .. A vec la n u it, le fro id é ta it vén ti e t pa-

ra ly s a it 'le s m o u v em en ts de S ta n is la s ; la s itu a tio n d e T e n a itd é p lu se n p Ip à b rH iq 'r '''' A u débuL il a v a it p u de te m p s % a& pren.di^ .pied s u r la r i v e , . re p o se r; m a is m ain tenani

-I :__ J-___ J

A u débuL il a v a it p ü de te m p s A n ô tre pren.dée.jiied s u r la riv e , y re sp irë r e t , ^ re p o se r; m a is m a in te n a n t, uuSsiiô t ifu il fa isa it m in e d 'ap p rd ch er .d e ' là berge , u n m em b re de là (a tn ille p o iluè A ccourait,év id em m en t Avec l’in ten tio n de le s e r re r d a n s se s bras{ aiihab les bêtes!

O n etite iida it a u lolH les ru m e u rà d u ca m p M ô rm o h , lé sa b o ié m e n tsd e s ch iens, des. rire s , d es c h a n ts ; (riais p e rso n n e

^ ^ i p a s , fp réé de n a g e r Sans '.felAche, de plorikeé à. to u te m in u te , ne .pdtïV ont

- in(|uié(»rite . e n v a h i^ ijt^ B p q C eréeau, to u t .tô u rb q lo n - ,n a it a u id u r ' de m i ; la r l v i ^ ' l û v p à ra |s r sa it iiriiridhile, a i les .ô u rs , d ê m e s t t j ^ e n t b ra n d is par>M (N tb m trouMéeV,' |ü i béiri-

ibiaierit e i ^ u t é r a m o ro n d eA iqférn^é, fi « e n èao^ait.plûsclD m côaàftié

déhùL P .è n A pèréèym t A d ém , h eu re d ix ; v in ^ ,^ è e û t , d es m itlféra e n n h iian - s a n t e n ro n d , e t c h e rch a n t A l 'e n tra în e r d a n s u n gouffre. Il a v a it la conscience de

sa pcUb’jifH th iin è 'i ü ^ t tm ^ h l ih f 4 u ’il'ne lui re s ta i t q u e deux chances au s s i fu ­n e s te s l 'u n è q u e l'tititrei'vni s e je te r e n tre les griffes de ses ennem is A lon g u es d en ts .

:ou.w î*iqye(i’ i- . . . ■- „ ; î . ,-.7 , .p riu .à f riv a it rnpidéM eii^b ro p îl la rd enV àhlssaH ib m ’ Je . ç ^ ’’

: -^é«>^:pbrr;,îl f u t b jé b tô t iîiaptSS rien d i s t in À e r à d i ï iMts,

C etté 'b rûV ne'iû têitae.aàèyS ''M la ra iso n du n q ^ èu r é b ii is e ff l i m j i S

a a ^ e s fro ides è t h u m l d ^ . a e ^ Mm ^ m e m b r e s s e . ç o r i t r a C ^ sàV a de Ae è ram p o n rie t à tfu d l so lide,et. n è rencoriffà, q u e fè au * '! jA rije conyu lsîtfe tnep t; ènfijq j l ^.lond de là riv ière ç t p é r S t qç|i^$aB

A . IbüRMtfrtiit."'

( iM su ite a u itrochd ih nuM érd).

L A « A 'J P io N A l ip "Compagnie d'ÀwunmèMiè prii — I I B , •l'INCSNI)!

éUbliaàAnnenne Conidfl G ra»(m oM (,f.> àù 'q ( I février 1

8ûo;sMpua s a M.

'Agtîill' 'gdn'éiRI ’à SEÿrLlB^fÔlïè)/ 'Rue SaiiilotGeoevièeè» i r U a R o i

•! •-della iehé).iv ,.,,.|...,,> ,n« ,liOi IV n tln iM ilo , Compagaie d’AilllriiiUÉiyk

la vie. — AiMnifcea en e u de i ^ *Auunnces m lxtes.Bea(éaviifli«i

Page 2: Lt'^TUATIOli ECHOSbmsenlis.com/data/pdf/js/1872-1874/bms_js_1872_07_08_MRC.pdf · «îaurà què dÙ paip sec, au liM des c

m s ü L

i llm tito c m m iM I inM atadiM » d a i l f u ^ modlleni m u u Im , a»! d iaira péalMeaieat

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r«>' # f ê t J l r t i a w l é ^

, y , . i i . i l a - t t h M n i a k i a

i t i w i d i * «I' 4IVIt'

Qe M M CM d o a i a n i a l KM» " U o r d l u i

M lfH N far. L m t - idéal «al m n i ddinO' n rta .^ lw illd M H w iqM , n a i l i é répuN kain .. H td w a ïa d a M la id p a ra lie a d a i 'Ë ÿ i n a l

^ d a i 'E u t ; i b o à i n r t a a i daa^fdn ioaa a n i i - edaa H r ta i( a id a iw lia « a ia ,q a i d a ü saiiier

la p a ja , a l a a r d 'a a tra s siqeM de celle

b ic a .Q aaal k la d ité te a c a e u t n lea p re y res -.

a ia la i n d ^ a x a l leap M g n aaiu ea nadé ida . M to M U r ta a n a d a . C a n i4 u i aoni aa m i- ^ ^ ^ S S a î S S a n l I e m e a l mod'éiéa é t id!-

.a ^ a f l ia b ; aaax, <|ai aap irea t au m iaiatëre lo p lfU j^ M ax «t id ra la lia n iu ire a — n i i ^

p ii jp if i l i t.^„^«rt«ilie,iArU répablkaiiiia qai o 'e ii pas

\ |fè * BophpfM» pMt*éire, qai ,se difise en pepipPifUblièeiiit, m û » qai ont la malice de a 'o p r lonqa'il a*agil de remuer le pays |i ^ é im a ^ >JH tif! »«»>»««» fédéwliçie» çl Ip i^ rea» s'jptMfMleBt alors comme eo foire.

U eijl.iqaUle d e faire rem arquer que ces p p l p e rtis eomprmiDeiit uiie Infinité de c p c ie s , unqcÿ^rieoK variété d e nuances e t i | p > , p M . « x é ^ il n ’j a pasdeux progrès p is te q .^ i a ien t exaeteaneot les m èoies opi

n^QSpDe t d l e ao rte que, non seulem ent ces sept

e rm é esa e b atten t en tre elles, m ais encore la d iscorde e s t d an s leur se in ; ce qui les p tra l js e e t â a j e ta n t b ien que mal le t rd n e d a roi AroîMée. O n le tire b droite, ^ le tireA gaucbe , on le tire de tous Ics^ cd lés b la fm s; quand il risque de tom ber en arrière , a n eboe le '^ m è o e en a v a n t C 'est le p lus b d io tté des souverains.

V ienne u n e sèconiae plus forte que les a u tres , e t le pauvre A m édée risque fort d 'im ite r la grotesque postu re d e ce roi du m oyen ig e . qni m ordit piteuseincnt la pous-

« è re d e sa cham bre.. . £ a atteiHlant, l’E spagne est le pays le plus m id g onvem é e t le pins m alheureux de

l'E urope,Il saçcom lw b deux m aladies qui peuvent

ê tre m o rtd les : il e s t exploité par quelques p o lit^u eo rssan sae ro p o lc ,q u i n 'on t d 'au tres

. convictions que ce lles de leu r intérêt per­sonnel, e t d 'au tre talen t que celui de s ’en-

e t an lieu d e se ra llier autour d 'onj % dnpojfp fo inm nn les conservateurs libéraux;

au f t p l (Hm gu erre impitoyable pour d es naadaires.il « c tle seconde m aladie, nous lâ

a à S M ;k n e d is rien de la pre- A lausuru q u 'ils vieillissent, les deviennent plus ra isoobeurs; cela

pas" qu 'ils deviennent plus rai*

M p l ^ l ' a d i t :E lle raisonnement eu bannit U raison.

Le cabinet Zorilla sanvera-t-il l'Espagne

e t A m ^ é e ?A ssurém ent o u i, — si on en croit la cir*

^fulaii^ du m in istre ; beaucoup d e p ro - , (m ènes e t d e paroles, q u i se résom enl

aiqsi : 1 ^ gouvernem ent aura tous leé

'S î j î b ^ l 'd o n q M bque affirmait **in o an tsa té il' l’Aiiÿeterve

Au m H sCnos matières ne nous pM étrangon;

' Après lese levant F'»*—** — t—une (ois, X . •■ R M lé ilU d M in i; m ab,dès les piw nièrSIidSies, km s pF vfeeonatlie que. si attaché que (fit H . Thlers à ses idées penon- nelles, il pourrait bien m fln les abandonner devant la contradiction si décÎMve qu’elles ont (^contrée. 11 s’agissait moins pour le chef du

; de tentN un dernier elTort que une retraite honorable.

'il n’y a dans edont il (but

IthlM pilU i-t a r t u m a b U

’imposeétttx

■psnonnene '— endose

troisième fois queje^iiriadémonter. • Ce n'est

n e l ^ i r è è ^ ^ i ce qu'il n’ai

X. V. t .

Il ch m h e SI toute cette affUsortir. La nécebo.u> |mh.v, .. ,e t il n’y a aux yeux de H . Thiers que l'impAt des matières premières capable de soulager le Trésor, m non, il foudra recourir èr itn p o tsu rIa mI ni, \ l'aiinm’onlbliAn iIar l*AntriLlllion8

surtout s montrer qu’il n’y a dans cette affÛre qu’une alternative dont il fout

La nécesûté parle, il fout 150 milliqns.

iTOBor. oinon, ii lauuTarwuuru anw ifuxoui le sel, où & l'augmentation des contributions d h ê ^ I . . . ,

li..Thfors .combat vivement 1 impôt sur le cbilTro des aifoires, qu'on prône et qui, è ses vmiv. Mtitniit siiB» ininue au imnraticablo.'yeux, est tout aus» inique qu impraticaMe.'

lie* plaisir d’é m t i ^ e r M. Raudot,x' al s —iIpa. mt J k évi..*rtitul/iit

w piBisir a tm ii |{ iie r m. n«uuvx, d'ètre hostile è U . Buffet et de foire quelque peu enrager la m ^orité, l’emporte sqr U sentiment de prudence e t réserve que l’orateur s'est juré. L’Assemblée sairit la balle au bond. H. Buffet réclame. M. Gavardie interrompt mns qu’on

Imisse saisir ses paroles ; la gauche (bit naturel- ement un' succès à M. Thiors.

Tout va se gèter.Non. M. Thiers, toujours malin, saisit une

écÙ rde, un moment de rilence, pour revenir aux cotons et dès lors n’en plus sortir. Il s’y •efoHiM. Le tum ulte s’apaise de lui-mème, et le président de la République termine paisible­ment son discours, apiès avoir, dans une habile

I pàôraiaon, mis rAnemblée en demeura de voter, foute de mâlieures combinaisons, l'impôt

1 des matières premières.

Séance duA}uilUtW 7%

L’ordre du jou r appelle la suite de la dis­cussion su r les nouveaux impôts.

M. PooTBa-èlUBitTiKa dit que l’impôt les m atières premières sera le plut léger et le plus productif de tous. Mais le gouvemry ment ne peut équitablement l'appliquer a l’industrie nationale sans lu i oBnr le oédom - magemeot d’un impôt sn r les tissus fabri­q u é , im pôt qui dépend de la réussite des négociations entamées avec l'éiTMger. Ces négociations doivent donc ê tre énergique- mnnt poursuivies, et, à ce sujet, l’orateur ex-

e les vifs regrats que lui cause la situa- dans laquelle les traités de commerce

ont placé la France.Ces traités, fu is sans que le pays a il été

consulte, on enserré le pays dans des liens si étroits, qu’il ne peut foire un mouvemeut fiscal sans ê tre obligé d’en dem ander la per­m ission, même à de petites puissances. (Très-bien! très-b ien!)

Sur une interpellation de M. JoasTOn, M. T biers explique qu’il a touiours soutenu que les traités de commerce ne nous permet­taient pas de m ettre un droit su r l ^ produits fabriqués, m ais que pour les matières p re­m ières, no tre liberté était mconiesiable.

H . LB PaÉsiDXRT. — L’incident qui dui^

'RE D i ^ E ET b i r e i u c i l ^J O U R N A U X E T L I V R E S .

U U * e t

Nous som mes habitués aux contrafiictioés polUit]ues. J

Nous avons déjb vu tan t de S ic a m b ^ adorer lo lendemain ce qu 'ils brûlaient »'la veille, que nous avons le droit de d'<*

mais surpris.Mais la conversion d e laA iÿué/tf«ta/rM .-.

{«ÎM ,journal de U . Garobetla, est tellem ent rapide e t tellem ent bruyante qu 'elle n e peut passer Inaperçue.

C 'est presque un chapitre de notre his­toire contem poraine.

La R épt^lique fr a n ç a is chante mainfo- uan t V. T hiers su r le mode m ajeur e t sbr le m ode m ineur. Au besoin, elle inventerait un au tre m ode pour donner conrs b son enthoumasme.

O r voilb ce que 4 . T h iers disait il y a six m ois de H. Gambelta dans un dé ses p rit- dp ao x discours : ;

La foute de la gtierre poursuivie k outrance a commencé, non pas à Paris, mais sur )a U)il[è, lorsqu'il n'y avait plus d’espérance raisonnaln de former, au-deik de ce fleuve, des armées m- pables de débloquer Paris; c’est Ikqu’k cNb- mencéla foute. .

J ’ai la conviction que, si nous avions foit la paix à cc moment, nous aurions moins p e r ^ de territoire et moins donné en indemnité ‘de guerre. Au lieu de cina milliards, fuwi o nA tm pu ebfemr la r o i ^ a As fo défuiU pour <UMmilftards et de*M. . , '

En réalité le Gouvwoement se trouvait dans

pt^Bt do antom bée i

jNèiof^Ulaquelle lÿirèràiM

Gela 01 w voyli do eopite d'Eatt ^ o o m m a n d i i ^ géi

vjB ib i vikoivi u i rayv iw qui «uaviiM ■l'A ngleterre un nouvel ennem i, l'Espagne.

L e P t l i t ifey(lei)e(U garqop, ainsi qu*nn apppUH U Fayette d an s l'arm ée angM s4), comfAaodait en ch e f h Yorfc-Town, te I** octobre 1781, c l le 17, lo rd Cornwalis capi­tulait.

I.C ^ janvier 1783 , un traité avec l’Aii- garaiitisaait l'autonom ie des Etats-

[ tB ia .

depuis deux jours doit se term iner ici. COui ou i!) Nous revenons à la discussion surVim pôt relatif au diiffre des affaires.

Ipais jam ais, un m in is tre d e la Péninsule B*e BUtrcaicot parlé b ses débuta, e t Je peu­plé Espagnol qu i coonait ses auteurs et ses « t i t r e s , e s t rédo it b dire ce que disait S ancbo Pança :

—> « Çe so n t chiens de même espèce avec

deacollij^ra d ifé ren ta . »E . CouRTign.

k l a C k w b r e .

•■^"tk'itfoode baUine des matières premières .poBtiBue de idos belle. M. Thiers, toujoura

' ‘jSBütif, M m de piendre des notes et d ’ififoriUppre par des critiques ou seulttuent deb gM éé'lea ora tcun qfii le contrediMOl.

. M. L m iR T eri de ceox-U. L'orateur est un ' SrM AaW véfifoira de l’impôt sur les matières

w^^atèéék ^qui

^Molr,

n iciMUl au wiiuxx: ux» Muaitw. _Dans un discours fort long et qui n a pas

é té en tendu, U. Gaslondb attaque ce projet, qu’il considère comme Im praticable; — la Cham bre, fatiguée, insouciante, n'écouie pas.

H . Gaslonde, très-blessé de cette inatten^ tion, n’en dévide pas moins son chapelet jusqu’au bout.

P lusieurs fois, il se tourne vers le prési­den t pour le p rier de faire rétablir le si- lence. . . . .

H. Grévy s’est endormi — il fait si chaud — e t H . Gaslonde est si long!

D'un a ir résigné, M. Gaslonde ramasse ses papiers e t, pour toute consolation, reçoit, en passant devant le banc du gouvernement, une chaude poignée de mains de 51. Thiers.

B . FgBAT appuie la io i. Il ne serait pas juste que l’Assemblée épai^okt les capitaux isolés, quand, samedi dernier, cite a frappé les capitaux d'association, les capitaux de la grande industrie. La grande industrie n'a élevé aucune récrimination. C’est donc bien k to rt qu’on a semblé douter de son patrio- ‘**“ ie, e t les paroles récentes de H . le P rési- w,.i.i de la République ont été pour elle un

I m otif de grand chagrin.' Elle ne demande qu'k p r e n ^ sa large

a r t des charges publiques, mais à la condi­tion qu’on neTui enlèvera pas ses moyens de travailler.

, C est pour cela qu’elle repousse llm pôtdcs matières p re m i^ e s e t qu’elle se prêle volon- tiers h tous les im pôts su r la fortune naobi- lièra. H ais que CCS impôts soient bien d is tr i­bués e t dans on esprit d'égalité. Ils le seront

b taxe su r - * ------C csi b p a rt de l’a m n i isolé, e t l’o ..- .- - . --- convaincu que si M. de Rothschild siégead sur les bancs de TAssemblée, il ne voudrait

de l’exem ption que l'on

L’o ra teu r se résum e en disant que fim pôt du chiffre des affaires ftappera le capital,__ 1 ! .___ ! >t:_^Am * - ----------

môSBé. étudié dans aes H . m ^ e U e d é c b r è

que nm pôl SBé M rpjrèMMrèsBé peut donner actueUetnenl

d . I .• — -M. p irb «B nom de

m q n 'B e i ^ ,

' c l s'expose plusieurs •*— • « Hais n’inteè-

.lu r e n t ,

eUguerant qu'ilr lui, et il continue

iT ï DdUthneeclueile.

fois par-fo

M e t qM P m a o ie rn e

ilM C W lM ikW l

tandis qne l’impôt su r lesi— frapperait le consommateur.

La suite de la discnssion est remise a de­main.

Séance du h juillet 1872.

Quand vous aurez appris que H. Gouin, l’ancien maire de Tours, a parlé presque une heura; q u e H . Floltard, de Lyon, n a parlé qu’une aemi-bmire ; que H . Cordier, de Rouen, a causé un peu roqins longtemps encore,------------ tout aussi longquenousaur la s.

ce qu'ont narra ces meesieurs il u i td e vousledire; c’est un secret.. le banc de la commiarioo, car

causeries des collègues de b i vuuM,M>.t absolument la voix des orateurs.A pln«ieursrepriM», une parti, da l'.n d ito ii,

m i t dwaamlë la ddUire; ell, «rail m tme éU mise aux voix e t repoussée', mais fc une b i^

Slbls majorité. Malgré les objurgations dé .T irard , l’Assémbrée ne sem bbit prendra

qu’un médlotfe intérêt h U discussion et se considérait comme sufllmmmeot é d if i^

H. T iaiau a osé alfoonter cette indifiérence. Bien lui « 1 a pris, car i| a cmporld la grandsuccès de cette d’iscuseion.

H . T irard,’ex-maire de Pans, a eu le bon esprit de p la w b question sur un terrain tout différant que celui qal fût Ubouié et retourné dans tous les sens par ses nrécédraU: k Iq puce d'affirmations, il a apporté des faib.

Grand commerçant, il est partisan de 1 im |^( rà r le chiffre dos affoires; membre de b ganche et de b gauche avancée, il ^est Ait vivement applaudir par b d ro ib ; tout prêt k prêter k Mi le préndent de la République un appUl que, il lui nfose son adhéuon dans ceUe ques- Uoh ^ a o m iq u e ; il b lui refose avec au b n t d 'o rinpité q ib de fermeté.

Ü M p e N b ^ U gaucim nléUit pas foH kat B ^ e , p t lL lh b r s n ’ébn)[iâ8€<Hitek( du (oui

T iiiîd . .1

tl p o à r li

la main d’un ssulhomme. (Mouvementdivers.)Eh bien! k mon avis, on a poussé la p u e rre i des extrémités désastreuses, et c'est alors quen • dépensé encore 1 mitiford 500 mU/ioM de p lia environ, et peul-éfre même plus de i mil­liard 5M millions.

Je pourrais m on tra , par des comptes rigou­reux, qu’on est arrivé à 1,500 ou 1,700 mil­lions de dépenses en vue des premières. Quant k l'indemnité de guerre, elle s'est montée fc 5 milliards au lieu de 2 milliards et demi.

Quant k h pari des foutes, b voici : ceux qui ont fait b guerre nous ont rondamnés k b dé­pense nécessaire de 4 milliards ; ceux qui l’ç prolongw trop ont doublé le désastre et la (L pense. Je le dis pour être complètement juste»

M. Gambelta, d irectem ent attaqué, ré pondait su r le m ême ton . O n.se m o rd aîrk belles den ts. A ujourd 'hui, on s'em braipe. Lè m otif de celle am itié nouvelle n ’est pas difficile k trouver, il est tout en tier dans ce mol d ’un radical :

— Servons-nous de M. T biers. C 'est un cheval d e reoforl que nous prenons pour m onter la côle. Q uand la côte sera montée,, nous verrons.

Deuxième cootradiclioo Depuis le récent traité avec rA lIcm agne,

la République française ne se lien t plus dé joie. « Enfin la France est délivrée! La France est rendue k elle-mémc

Et elle plante des m&ls k banderolles, et elle illum ine sa façade. '

Ces fanfares d ’allégre&se ne son t guèra «le saison. Un peu de gravité siérait mieux.

Mais où le spectacle devient pénible, c 'est lnrS(|u'oo se souvrent du désespoir de e rs m êm es hom m es quand le traité de Bor­deaux fut signé. « C 'est une honte » rriaieot ils.

Aujourd'hui, le nouveau traité n'am éliore |ias sensiblem ent notre situation Alors pourquoi b o t se ré jouir?

Pourquoi approuver aujourd'hui cc qu 'on désapprouvait si vivement hier?

La République française ne donne pas b ra ison de ce tte déraison apparente.

Moins habile que la R é p l iq u e française, le C orratre évente, la mèche :

Tel qu’il est, re tra ité n t un progrès, suf I l'autre. Il prend par led éb il la qoestion dk

Viodemnite de guerre, i l b an état définitif k un éUt dans un délai rapproché,.’ ' arlements occupés par I'

J u r ta i i il nu l pn au ma* de Versailles. . . ..

Epiloguer serait bien inutile. — qucstim

ta r ^ l r ; il substitue t provisoire, il amènè, i, l’évacuation de deuX

*" ibrAssM ik/fo

On le voit ; Ik Franco a lo dro it do pren­dra . t a part des fê tes d e l'indépendaBce Amériéaine ; sans son in terv e n tio n , Ira E U b«U nis n 'existeraient certaiuem ent pas aujourd'hui.

Malheureuqomeiit, il y a loin de 1770 k tS 'IO , presque du siècle, e t l’altitude des Américains, pendant la guerre P raoco- A llem andé, nous fut m édiocrem ent ami­cale.

O n pourrait ré |ié ter, k propos des sou­venirs d e sw ric es vite oubliés, le refrain de la ballade de M urger :

— c Les m orte vont vite. >

P é é M i e e t C*.

Ils vont bien eo Espagne.(..es républicains avancés de .Madrid ont

tenu avant-hier uno grande réunion élec­torale dans un théktre , e t cette patriotique assemblée nous parait im bue d 'u n esprit de fratern ité e t de liberté tout aussi- puis- san t que celni des clubs rouges de Paris lors de l'ëclosion du 18 m ars.

Soyons fiera :L es idées françaises font le tour du

m onde.H» Casai'Iuero attendrit son auditoire en

lui racontant les (lersécutions abominables auxquelles l'in ternationale est en butte, et su t l’ind igner en ra p p e b n l le gaspillage fi-

icier de Figuerola e t de M orel; après i|uoi, il lança son anatlfèm e con tre Castelar, Figneras, P i e t les au tres m em bres du co- m i:é d irec teur, qui rêvent une république tranquille, ik où il faut une république im­placable qui fonde su r le sang le pacte social.

Daxa traça k grands traits, c'ost te cas de le d ire , puisqu'il étanchait sa soif dans un énorm e broc rem pli du ju s de ta vigne, l’idéal de la R épublique ouvrière, où les .ir- cbevêqucs devront travailler k la lâche chez no cordonnier, e t les généraux gâcher du plâtre entre^une revue e t un exercice.

Le citoyen Galiana prit k son to u r (a pa- Ptèp. il qe fairi pas, k son av is, pousser Amédée h la. re traite , il vaut mieux qu’il rrato , il faut le conserver pour la bonne bouçhe.

E tant député , il a d it aux C ortès c qu’il S*cn allait, e t qu 'il ne revieudrait qu’avec le peuple arm é de haches, t

il ajouta que « le besoin de la révolution était pressant; qn 'o n ne pouvait en tre ten ir plus longtem ps ct^rtaines dames qui portent de la denteilo e t se (ont truincr dans des éqnipages fringants payés avec la sueur du peuple, et qu 'il é la îl odieux de com pter des millions au roi Bobèche pour qu 'il nourrit des courtisanes. >

Se voyant trè s applaudi, l'cx député Ga liana atteignit le som m et où l’éloquence devient do génie en déclarant « qu 'il fallait m épriser l’au torité quelle qu’elle fût. parce q u e la m eilleure forme de gouvernem ent; c 'é tait l’anarchie. »

Il y eu t d 'au tres o iatcurs qui parlèrent d 'abondance e t d iren t des choses tout aussi remarquables, accueillies avec autant d’en thousiasine.

L 'enthousiasm e ne se calma que lors*|ue le P résiden t annonça une quête destinée k payer la location d e la salle.

L 'annonce n 'é u i t pas term inée, que la s lllc é ta it déjk vide.

. . 1e r un excès yls, je m onterai, m e m ettre k la

re tirées d er- immencerouia

1 11 d e parti, et ivéMit Bourbon,

n apartîPL 'Europe, victorieuse la veille k W aterloo,

treasaillit, — et céda.^Tel é ta it ce roi que la nuée innom brable

dqs imbéciles accuse d’ê tre re n tré < dans les fooruons de l'cim em i. •

M. M.

KOtlVELLESOfirARTEMEItTALES

C « » M * 4 F e » « e s A R F le o le »du département de VOtse.

En exécution de la décision du conseil général, M. Gossin, p rofesscurd 'agriciillure du-déparlem ent. fera une conférence publi­que, le IWinoiifAs F Ju illet 1 8 7 2 ,' k la Mairie do Nanleuil, k d e u \ heures précises d e l'après-m idi. . . . .

Lès agricu lteurs e t am is de I agricuitnre sont suécialcm ent invités k y assister.

Le Préfet de VOise,S igné : CaopFiN.

grand e n n u y é ce .w .» . BMNdlenx coussifli, qui s o b d t i e f i M A * --------

MoisSUR LB

S A L O N D E 1 8 7 2

c T l i o t n a s O o i i t i i r o , n é k Senlis (Oise), élève de Gros. — A u château de V dliers-le-B el. »

Donc, k tou t seigneur, tout honiicur: commençoiis par uo tre aristocratique com ­patriote, décoré de 48 .

M. Coulure appartenait jusqu 'ici k ce groupe dédaigneux de fiers artistes, qui considérant le Salon, que dis-je?^ l'E xposi­tion annuelle, com m e on vulgaire bazar, refusaient obstiném ent d 'y envoyer lenrs ouvrages, so it horreur de la mauvaise com pagnie, so ildéfiance du goù tpnbüc. i capable de d iscerner iinô perle une noy-w dans 3 'b u 6 0 0 0 côlis de pacotille. Comment s e fait-il que l'abstention qui éta it h ier de bon ton, ne soit plus de m ise aujourd’hui? Serait-ce que, ce lle a n n te , le Salon de peinture s 'e s t am endé, puisqu’il ne com­prend guère q u e 1300 num éros? ou encore, parce que tous les grands nom s de ja prem ière m oitié de ce siècle ont tour k tour disparu de la scène des A rts? Ingres, Decanips, Delarocho, Delacroix, Gérlcanlt, A ryScheffer, H orace Vcrnot F la n d riiin e . sont plus: «t que rc s ie t-il d e cette glorieuse! génération, qui apparut vers 1820? Léon. Cogoicl e t K obert-F lenry , Couder et Cilmt, Corot et Gabat ? La seconde génération, éclose aux alen tours de 1840 , compte de plus nom breuses illustrations, sans doute : mais k côté des Signol, Cabanel, H ébert. |.elim ann, Yvon, Schopio, F ils, Meissonier, Huiler, Périgoon, F rançais, Alexandre Desgoffe, Diibufe, Benouvillc, Daubigny. Diax, Jalabert, e t Philippe Rousseau, on conviendra sans ficine.queM . Coulure lient n ne place, sinon préém inente, dii moins k| la hauteur d es plus distingués. Notez que j ’ai rappelé, non les plus m éritants, m ais les plus m anpiaiits, les plus acclamés cl; réêlamés par la presse, ce tte eiitrem etlcuso hahiliiée des Braux-Arls : car, dans lesdeox prem ières classes que je viens de distin­guer, e t |icu t ê tre aussi dans la troisièm e, celle des jeunes, pourrais-je signaler des individualités aussi d ignes, celles qni ne. travaillent que pour l’avenir, e t ii’alieudonl q ue de lui le prix trè s désintéressé de leurs efforts: c e u x lk , ce sont les martyrs.

S forl*vétB. Bnf . _____I I , qui digère p éa lU en e a t

^ MOfabnK M r t r a e n t qu 'ila 'a u ra pas faim pour le d lo e r t — Nou, vous n \ étee pas t ee ite eourônne su r le firent fait bien songer aux festins antiques : n a ia voyex ce lle lyre où se dessèchent les lau rlé n , ce ta lu m tù que nsenaeent les lourds ciseaux d e Is M tnufs, e t syrtont, ces chainos plus lourdee encore qu i étreignent ce somptueux m isé n b tê autf p ieds e t aux poings. — M ais, est-ce le poète, le p ^ g tre , le s c u l p t e u r ? O u i ol non, ou plutôt e 'esj ' tout cela II Ik fois, o’est da génieKous toutes les formes» o e s t l'A rt, mais liélasl l’art oflleiol, l ' ^ . d e s eanlales du # 8 ooél. l’art do M. Lefoel, 4sdb «on gros Louvre (tarasite, l 'a rt de M. H uiler, de l'heureux rival do M, Couture, dans la S a lle .des E ta ts , l 'a rt d e H . Meissonier danS'Son Solferino, l 'a rt d e M* W ioterhalter dans les portraits raufretnebés de Is cour.

j 'a rtH l w Mocquart- Aiigisr rtsM jn T ÏNiHù* cartes et Giboyer, l 'a rt de Ponsflrd daaa son faux Galilée, m oins em prisonné < qne le Damoclès im périaL l'aTt^.a. m ais jo ne fini­rais pas, s i je èoulais énum érer toutes ces forces vives e t spontanées qu*a liées et am orties l'appat do l*or e t l'espoir d’un foii- tciiil au Sénat. — Tiens, le voilk c e t .o r , il roule k flots de cette u rn e 4cu1|il6e; les fru its les plus rares em pourprent de leur éclat velouté tous ces beaux vasea; le ;voUk ce velours brodé., prends grand , sois h e u r e u x .— L . .devenu l'artiste , ce Je ne sâis qooi.d 'allé’e i de sacré, libre com m e l’a ir; vif:comfBé h flamme, le véritable h o o m e libre; eq up m ot? H o m m e - l i g e ! O u i , | | l f ^ l ^ l k coti- roùoo te tom be du front; u ^ b r e s d 'o r de ta lyro se sont brisées , le l lB r ie r deslibres inspirations d 'autrefois pe flétrit . soMs,; tes m ainscbargéos do fçr. le çbam p J?, PAuMmu- siiisme se ferm e k tes piedk ôù se rivehl les en ­traves. L 'idée céleste n e hantera p ltte U pensée, e t l'opulence qùi l’o': féconde pour toi, q iren vl.„_ qu 'eii m éiancoliésan» g ran d eu rs répètes la fière sen tence: P r t l i o r m . ^ ^ ^ - -/o*o iiâerlo* çuam w curafiou rea C esdeux I gues ilorées sont tpu ifa q ç , .Xkepeli P h a r is n n n 'es plus que ta brilfoBle, in*U inerte e t im puissante m omiè. TdatèS ces délices m erccoaircs ont tiié tonA rit^ 't’ voilk ton épée, k loi. n 'es t p a s ce lle 1ÙM|t . le poète, destitué par l 'E m pire, disait. uiifole- ment : t

Fils de» Francs, aiœou» uoXreJpésIï .q u eru r;

Epiloguer serait t est la, rien que 14.

I Nous savons m aintenant ce que sigoiÜeiq I ces coups de trom bone et ces joyeux tamv

bours. C 'est la cam pagne de la d:ssolutioù I d e l'Assem blée qui va recom m encer. j

K m A a a é r k q |« e .

Les Américains on t fêté cette sem aine lé 9 6 ' anniversaire d e leur indépendance na­tionale,

I l y a 9 6 a n s , l'A m érique prit les arme# contre l’A ngleterre an nom de la liberté. \

Nous n e racooteroBs pas ici les dit^graeq péripétiesde la4a t(e ;n o asn ed iro n s p u e o m f m ent W ash ing ioo , /éd u it k une poignée d 'hom m e mal ^ n ip é s , parvÎBt k réun ir de nouveau onze mille hommes, k la tète dea-

il chassa d e Philadelphie le généra,! Hovre, coram anditoi de l'arm ée anglalaer

mus avons k cosur de noua rappelef es t la part d e la France dans cédé ré>

.la ^ o c o am éricaine.U Fayette partit le prem ier, m algré les

supplications de F raiddio . i Jusqu 'ici, di­sa it-il au grand hom m e, je n 'ai fait qne ché­r i r votre cause; aujourd 'hui qu’elle est “ “ nacéo, je cours la servir ; plus elle aci

. tom bée dans l'opinion puMique, plus l't d e mon départ sera grand, e t plus U ****' vM ibêtre m ile. > ’

‘W ashington l’aim a. Et Payelfo, a r ­d e n t â accom plir l'oravra tom raencée , Bp ce in a # iM lê te r aepfèè d e M anrepas e t dp

t im 1 ^ * 1 f A S r lo te .

L 'JltrtetVe de la Restauration d e M. Nette­m ent vient de paraître.

La ftMirt n 'a pas perm is k l'écrivain eon- vainco,*qoi avait voué sa vie k b défense de la légitim ité, de term iner son œ uvre, et son filsk dû la c o m p ile r .

N ous n'avooB ici n i te tem ps, ni la place nécessaire ponv exam iner comme il convient ce livre «Ton bonuéte homme e t d 'u n bia- to rien eonseiencienx.

Noua n e vonlons qne relever le langage tenu par Louis X V Ill au

, d e l'invaikm , Im uis X V Ill, çe roi d 'esprit, grand patriote et ami de la l i l^ n é , q u e des Ignorants *so son t pin k rid ico llrer e t don t ce rtains libéraux, i b n e savent pas tropponrquoi, n e prononcent le nohiqn 'avec

' kfairt.flom m e eu 1871 , l'eouem i voulut, eo

'1818, nous p rendre nos provinces; m a b il b u t cro ire q u e la Maison de France offrait quelques garanties k l'Éurope, poiique, su r la simple réponse d 'u n vieox ro i revenant d 'exil, la R ussie lit peser sou influence, alors prépondérante. daM .|« . balance, e t la • P ru sse d u t renoncer h see ppHentions.‘ » . Je reprendrai, s’il |é fant, le ehem ind e l 't tra n g e r , ■valt .^it Loù|s X;VIII, en se oM vrant dèreraen t devant les aouvurains sHléa. M ail opan t h neeepter b FTaoee m u- lilë» ian a ia l

, ...S a, |w u J t lw D ia p r t f c m m a jo u ia i i :— Frenen g a rd e tS f profondém ent U ee-

(.|k , ------ --- , .comme on l 'a d it .b ic h (luc plaisaraincni.dii petit nom bre des liilèlcs k la peinture d 'hiaim re.

M, Coolttre ne revendique ceriam em eol pas rb o n iie u r de com pter parmi eUx : il est arrivé d e bonne* beurci 'e i avec écla ,

I d 'aucuns d iraien t avec scandale : il a ex­ploité irèa-fructueusem cnt m jeune gloire, s 'est posé en c h e f d 'école, en novateur fn- dépendant, rteniant les^récédenis novateurs. Gros, Géricault, Decamps et Delacroix, ne

• c ioyanf ^ ^ ’nao 'd lenx , e t faisan t ifo i» d e tou tes les hérésies passées et cooteni|»o- raines. Il vit venir k 'u i. l'A ngleterre, les Etats-U nis e t l'E s|>agiic, et put. fonder, comme il l'a d it hantaincm ont, VÀtelier desPrinces. i.e chef de col a té lier n 'est doné

- . . . . .

Soa aeier nous va l. .El Dieu «)ui >'» «i bteii Irempue.Veut par Ü0 U8 s’én servir coeur.

'• Non, c 'e s t le cootoao dord q r t ’tttrkdohn du m ême coup conscience e t génii:..-''/i. o!

C'est, Jk. si j ’en crui8,,M» Coupire j u v m ém è, cè qu’il a voulu d ire an jn s té d a ra t'on iiouveitU i.iblcaii. Jé pu is-d ire n o h v ^ ti,- en dépit du T. fc’. f « « » , 'qui (» i.lna |f Kép6- que de b c«>nipusitton; m ais la, semble fralcbemenl peinte. N’im|Hirtc ’s î i uns de Vci h! doniic'ni k l’miivre *1100 saveur d'op|M)»iiinrt •iwnt't'mpèraiim;!' sied bien à la satire sans poiir .cJi.M-èkiïfi*- , proch'e. .Mais j 'avopo , que le piqpantj de l’anti-date s’émousse quelque ||eù devant les lerrib lés actualités d é iflTU T^V loiùl'lo reflet se peint énergiquem ent sur que^quia toile»,du .Salon, e tq n e lv . puptic re ^ te q # peu froid devant la dccliéanre d e Tari» quand il a eu prési-iice '■d'âotfcs 'preavès accablantes de la corrupèion napoléooi«Bne. Ru résum é, te Damoelis e s t uin^ cpoym troppeu claire e t li on tai dWe,

L 'au tëu r jH -il |»ensé en relcveè le m é n ^ en Ini p réiant les diineOiinns’o t 'I c style^do la peinture d’histoire?: lUtnie sum bb q n i l s’est, trom pé. Quand on yqjl. d ^ r t c r en foule le genre nislorique, b grande peinture, couinie on dît, ' ort- serklt lento d e féliciter M. t iiu iù ro ide è iü té lre •resté fidèle. Mais si l M.i,aoqge au ÿuj^t qq 'jl traite, k ce tte :dl»^orie satirique, qui.cxige ta vivaéitê. I» légèreté, lè tour Ürhteioè W rapide, je ne sais' quoi do-jdesioVoliarat ^ folâtre, on s’aiKrçoit .vilO q tfe .çef jf ihIiléB sont précipéinçni ennem ies d^i.la . nionuniéntaic. W aile-m, que ne d é s . . . ^ . . . pas M. Cotkiurè, n.aùiail aussi le pampMet, inaU dans les pr.-porlions d e b v'igddjte peinte, et comme cii sq joua»l M çe IflJlW " ,t«*S8o lie ses singes, an m ilieu des râ p ru g a de l'arabesque 1 les vikitcursMle C hdhim j n ’out pas oublié co*^ spirim elleaiieartaa- tures. Il .louHwit. s:m.8 inpnyfir. M. J o u ­

et déclore Vailcr du bnllpfiti^ re appiije, v, -w y .-.- . inseete-|bm phU ‘( , ponr Yictdr Hugô. H é tiit'p lbsofieurB O fo b l plus près d e b . vérité d an s •lteS> Bcè«M com iques. Juges e t Pierrots, qu 'il exqois-

par quelques toiichcs éciSlaniés pouf Illu­m iner l'idée. . .

Mais, CCS réserves faites, il est ju s te d e signaler les «ifiâlités aèrtenkes <de ce rébus roaiestnenx. .

J'a

' pfirter ’

rr(nc€ë. ias uv w» -»» - —pas un m artyr. Ses Iribùlations sons . p ire viennent prééisém enl de sa b rljb ttw situatioB e t de son c s p r i .g lo r ie u .J lJ o r a , - nateur ; ou o es t pas im puném ent le Prince d e s P r io c e s l .

Quoiqu'il en so it, tou jours ea4-il que H . G ooture a exposé ce tte année, e t que son re tour au Salon a. fait événem ent. La ^ t i t é presse qui a w il .flagellé le m aître indisci­pliné sops l'E m pire, l’a , sans plus do raison, pcriiiflé sous b République, .Mais il est tou­jo u rs plus com m ode d e faire rire que dé com prendre e t de rendre compte. Ce petit inçonvéniêqt est arrivé k plusieurs, je dis des plus appliqués. Dès lors, si vu u est ju s tou t-â-fait de b n r faute, reste l'artiste. E t c 'est ta principale critique que Ion doit adresser k son œ uvre : eHo nuaquc^ de clarté. S ans doul'c, nne idée doit .être géné­rale, su rlo a t nh'c idée allégorique;' inais, pouf ê tre perceptible, elle doit, ju w u k uo, certain poinL revêtir le costum e de son

il fau t que c e b d a te .k ppipe ÿ î » ..v,»-r san s slguiOcation précise. O r, LE DaaocLùs (rem anincz t e lé, si flirament ajouté par l 'a rtis te au nom propre). le> Va

■ mocUs'aat ausri bien un satisfait du I Em I«W Rolîiâio, que de l’Em pire Byxantln ou dii S P ^O fn h re . Costume, alni'nbleioépt, al- tribuwmuUL io n t contribue k la ( onfuiim i.' Ainsi généralisée,, r id é e se cbaïqjo en un rebu“

I boit ponr toutes les sai.MMis. alqwln*®*'"^I com asoJo m anteau de rv ta tv n r luiim i '

Ah ow ios, si l'idée n 'e t t paa oetteipeitt esa tsm p o fa in e par les formes d e l 'e x p re ^

ÎKMiir.ii». - . . .'aurais m auraise eracc ë m eu re «a

amm/smI a.a aamA.il ÉAfl HACIV » I1M

I on reiiconiro «u .»aiuu. ™ w .v - liiude de tableaux dé chevalet, ou finis o a

dans la wMe : on seu l l i o n m a ilre consom ­m é dans l'ari d 'équüîbrer une compoailion, el aussi' de soiis-enleodro' bcaocoepi 'poor laisser la »s™ ie h•r'e««eoitel,.V »:(eii ^ riches coiiksins, e is ’bclle.} a l n j ^ t » ! |Cela noiirrili ê tre reb'do a r i i i t e l M /. . . a iio iirrili «iro éehU oI uii iiincéav aussi savaul ,o o c e |U iq o BMjs» - .saolTo ; m ais lion ; (ous le» a c c ^ i r » »

lit sacrifiés pu m otif dom inant,.h blléto» ra le o sl M lle, dans saBnCaM falIBuéO, am lfa so u s l-o m b red * * * 3 ' ' « clair-obscof «si I r ts i L 2b penset W aoçénp, - .l'une uipresslw» B!|‘? 1 " W ^ ,

,lloo)ére, quenit.d 'll|y»su dans lo m b ro d iin —desall faire sansde l-O r^'a * r ' “ u ? h O C f f i l ***“ * '* “

Page 3: Lt'^TUATIOli ECHOSbmsenlis.com/data/pdf/js/1872-1874/bms_js_1872_07_08_MRC.pdf · «îaurà què dÙ paip sec, au liM des c

JOORMi DE I

Ie m ître * ililfib e6 e p i r m i t o t ( r i t detiet. FM T'ta eoU M r. H . Gouliire qui i t p i r a i It ptloM .lÿtl[«nrore p lu t dottc rifle e t quo pour le jSéttiD t \ le m odelé : jB pM M ot p o (u td e tM le u r t (r ie m om éet; H t\ tM t.* rM lio M ( r i t h trm oiiieu te t, des to o t piquéi! qu i révelllenl #( des s o r e e i n t u o p u p lt . Délk, ud entem ble rlcbe c l doux h V(pilt où rien n e cb ito ie e l ne t f f c rw e - ta p i t t i r ie , où te toleil n*a p u eoeoro rongé o erltio e n o te t rH pIehdit-

' '%’u t l i â ^ que H. Coulure, qui • m o q u é

JECuiOB. d e décorer no m onum ent civil, m it dû peindre la chapelle de S aln l-E us- j ^ h q , t i soD.édHcaliOi) l avail préparé ù cet

o id re d e eom potilion. Au lieu des oolora- liom ÿ i t ^ ' e t p litreu se t que la Gouimiinc, Mr. un h a f trd presque heureux, a tpëciale-

^ n l maltraUés, il eû t teodu quelque^ eallcs ^ nos P ela it de ces splendides décor^ dont le Ihm oeli» e t le type achevé, encore qu1< nopporiup e t im ptrfailem enl iraduil. Je cro it que nulle (û rl, to u s le bénéOce des réserves d tiù (ailes, le .maître senllsieo ne t*et( m ontré plus sftr de lui-m ém e, n i colo­riste p lu t sobre, plus sain e( pins itrm o*

Ïie o x /P o u r ê tre uii frère cad cN V rii^o * litoo, il n’es t pas moins vrai qhe h Damo-

eli$ 6urpaù(« infiniment /m deux p^tVoM- •Âet de h Décadence de$ Romaine. — Al| I

I Me travail e t |a l ib e r té ! . . . .' J . GéRiN.

Sera eantinw'.

C n m l t é . a i i ^ l i é « l « i r W * e S te m llnLa prochaine séance du Comité archéologique

deSenlis, aura lieu le Jeudi 11 courant, à deux heures, (bos la salle ordinaire des réunièns.

8 « « l é é é M i i n i n a l n a|lk 0 « m l ln . > La Société musicale de w id lt, re fera

entendra n r le fund-point do èours,. demain dioiiucbe,& quatre heures. ' ; '

C n ln n « «l’ém airarm e e t 4 a ■ i ^ n y a n a e 4 a l* A rro m 4 ie a a n n a M t 4 e f l a n lU .

S U m tio n e n tfn u e dépù*anU,au!Û\Jum lW'à.

Le solde dû aux déposants te 81 mars 1878,était d e 1,643,669 40

■ Ajoutant :1* Le moOtanl de 036 ver-

spfoents effectués depuis celte ’ époque et s’élevantè 1 0 8 ,4 ^ t.70. d e n t : >930 versem. esp. 104,833 •>! xcm ik etransferts-recolt^ 8,606 76|

3* Les intérêts bonifiés aux déposants sur les comptas'soldéa depuis le 81 mars 1 8 n . . . . 631 55

Ensemble. . . 1,751,739 70 Sur quoi, il y a lieu dedéduire-

157,567 80, montant de 489 remlwurseroenta, dont 133 'pour solde, opérés depuis ledit jour 31 mars 1 8 7 3 , savoir : 894remb.cnQspècesl38,l34 13t

48achaU de rentes 38,931 SOf .157,567 SÛ \3tran8r.-paiom. 513 38 ' '

Parlant, it reste dû aux dépo­sants au 30 juin 1873. . . . . 1,594,161 90

Certifié exofit par le caUeier central touttiçné,

Max. Drumarrr.

C a l o a e 4 * ë p a r g ;a e 4 a S a m l lsAVW

Les Déposant^ sont prévenus que, pour aatis- Aire au désir souvent manifesté par bon nombre

d’eotm eux.K .diM ^I* but de AeilKii» leufi opérations, MM. w D lr a ^ ir s ont décidé qu'a compter du pramrnr Juilli-t préamt mois, le (^iaap, penbaiie^ > / M l" / " n w verte la dimanclke, de njnif denrt» Il 6 n ü M ures-du mqfiff, et de u ta i • dènx keneee de reteeée.

I « CaisNer,Max. Dxuiuaiuir.

KlfU «Iwll 4 i' $iculi«.JVuésMiice.

Hardy (Alfred-Auguste).

Déeèi.Ghristiaens (Edmond), 31 ans 4 mois.Petit (J o ^ n t^ 16 ans. .G orbie(T néf'm ^nstance), veiivo Heignen,

74 ans 3 mois.Mariages.

H . Hardy (Louis), feri>lanti«r é Senlls, et ma- derooittlle Parmentier (MarÎP-EmiliO'Angélina), à Senlis.

H. Levaslre (Saint-PiuLLucien), enmioyé è Senlis, et mademoiulla Roussel (Zélie-Rosalie), blanchisseur 1 Seplis.

B r e t e n l l . — Voici un fait presque incro­yable :

La femme Caroline II .;. , êgéede Ircûtè-trolB* ans,'sans nrofeasioa,^'habitant B reteuil, de passage -à Paris, et demeurant daps yn hôtel, rue Neuvode8-Gharope,a pris avant-hier, ô trois heures de raprès-midi, la voilure de place con­duite par le cocher P „ . . . e t r a gardée j 'u ^ u ’ô onze heures trois quarts du soir hier, se taisant

Eromener jour et nuit dans tous k e quartiers de I mpjtale.H le avait fait accroire au^ocher qu’elle allait

toucher une somme impoîtante et qu’elle lui donnerait un pourtKÛre Abiileux, si nien que l’automédon peu avisé payait ses repas, qu’elle voulait bien cependant Vadtùettreà partager, et lui prêtait même de l’argent.

Cé q'eat quM» bout £ M i - I r o i a h e u m qiio M i ycux ae Mfat « f i n daaiiliéa «I qu’il N’eatdécidé 4 iain> a i t é ^ h TO|ar>*B'« qui eût roulé jusqg’i h fin du JDOude et dans le Ali de la- qijdln il y a probMlameot un grain de futla.

ù ’ MiapléinM!. — Olmani'he demliT, en M prodaenaut s u r les bords de rOiae, lieu dit le NhulirHloCoquienlle, M. Bevillit ra, prpprié- (ains A tnm (dè|na, féocontra to aienr Jourdain, jardipieir à Rnyg|lieu, qui, quoique pris de lioiseon, prenait aes.iapotiHloii)<pourienietlre a l’ean. Averti par H . Devdiiers du danger

J u’ilbonvait courir, étant dans cet état, lerimir ounuin n’m tint' aucun compte ; et il était i

primdeacendu danslé 'rilte re qu’il disparaisNit sous, l ’eau. Un l ite a u conduit par le sieur iûrlhur NspthltAixpassait en ce moment; uno barque Rit détachée aussitôt, et ce brave mari­nier ne tarda pas h amener sur ta lierge le sieur J o u r^ ili 4 dem(4whyxié.

Lee aoins prod^ues par M H . Devüliers et N aph tàÿ , le ramenèrent è la vie au bout d ’un quart d ^ é a te environ.

0Ê fm em . — La fête patronale de la Saint-. H art m auja-lieu les dimanches 7 el lundi 8 juillet 1 8 a .r 'Dühanohe 7 : jeu de l’oie. — Jeu du canard.

Lundi 8 .* jeu du tonneau.. Jeux.da riseaux pour les dames, et autres

je u i éariéè.DImanaie et lundi, iu l gratis sur la pelouM

ou, en aA de mauvais teiiq», dans l’orangerio du clièteau. -

B « « r | r 4 e S a i a t - l j e a - 4 ’E M e r e 4 4 .— Grande Rte nautique, les dimanche 14 et lu n d ri5 ta illo tl8 7 3 .

Ordre de la fête,.*Diipaoctk'14 ju ille t. à deux heures, grande

ioûte è IxÀ nce; l^ .p rix jtne médaille e l 15 nrancR;3* prix une médaille çt 10 francs; è 4 heures, jeu du charbonnier èl du meunier; 3 prix de chacun 5fVancs; à 5 heures, chasse aux canards.

Ldhdi 15 juillet: à une heure, grand concert vocal et instruroeotal, par des artistes de Paris.

■ P fü fi* e 8 tré i:1 * 4 |v < « C u M fU » M |4 iH ^13 «M ptifront 0 fr, 60 eauL

A 4 heofM. JM du mAtde cocagMt phuiadla prix seroot iléeeroéi : b 5 lipuno, jeu d « éouN aeeen aeoe; deux prix de ohaeuu 6 ( r i 4 6 lieures. tirège de la tombola, aous la tente du

A neuf tp'iires, brilhlut feu d ’aïUflce orgééfeé par N. Aubin, artlflcior de la vilir de Parfe.

Grandoi illuminaliotm peiidanl Ira deux Jouré de la fête. '

Lee Qjmancbtt et Luudi, graud bal aous (me tente parquetée et éiémmment décorée. — Or- cheUre chpisi.

}jm saltimbanques et marchands- forains trouveront aide el protection auprès do l’auto­rité.

la Société iiéislrielieBANCtUé DE G R ÉplT ET D’ÉMISSION,

(anonyme)'5 7 , ru e T a itb o u t, à P a r le

émettra du Hardi. 3 Juillet au Mardi 9 Juillet

9 5 , 0 0 0 O b l l g a é t o n sSuivant délibération de l’Assemblée générale

Le prix do ces obligations est de I V 5 fr. l’uiio. Elles sont roiulioursables è 9 # # fr. ,i;

en cinq ans.L’intérêt annuel est de f 5 f r . , net -d'ininôt,

Itayablespiar trimestres, au siège do la Société et dans toutes les Succursales :

A v fw 4 4trag:«a» p u r , « aA dater du 15 mars 1874

En souscrivant. . Le 1 0 juillet. . .

. 25 fr. '

Le 10 août.......................... 50 |Le 10 septembre. . . . 50 ]

M fie a U o i M M M M u . . .

Ces 9e^ d fe I»

SIK SftfirlI^jdiM

Pour avoir d ix s lfto e liaà iy ab o B iM b lia à SOOjTrMcs en cinq ah<, rà p rM ila iil un leffUfl de 3,000 francs et pue /e n te aniii 150 vèran', éO,,AM

Et pour avoir elngl ebUgatiens reprM M M t un .canilai de 4,000 firarne, e l une raalo annuelle de 800 /Vanesi II aulRra de varair en souscrtvànl 1 * , l W F n N M M w ; i

Ces oliligations étaot.dtviaévi en vhal aériea, .chaque souscripteur de vingf nMiCfiniM raee- vra;«Ne oèl^aiioN do chaque aérie,ceqitti lo i - amure le remboiiftiemènlMlgifyétniqcatre d ’w t de ses oblii^iioris à 3po fran cs .'iM jlM elrlah i par obligation : 35 /n n tk J '

La Soç[é|4 iudiiBlrielItt aseuro a /a fwie- cripuAira ucms Obligations qne paii i m d t ^ M daosle prbchaiii'cinpriint i]alioDal,‘ u r ^ u 4 elle recevra, ces titres en'couvMtui^, ; . i \

0 1 e re ^ il en paiement tout titiw an ootira moycq du jour el tous pou|)ons échou l juaqn’à fin. août prochain, san^ frais, é s ^ |g q , , i ü commission, , ,

Toute demande adressée avant le jour.:de l’ouvcrlnre de la Souscription neser|-pa4 4 i8- cçptible de réduction. ,

'.les éouscript ions sont reçues dèf|'ce jo u r à 'P arIs : û la ^ i é l é indU8lrieile,'''57,^.ne Taitbôut; '

Dans les départements : aux suéctfn^CB'do la Société, el cliez tous les Banquiers., - '

smsJ k m m o m e e s J u d i e i a i r e s .

“ Art!

rujt^Sfint-

i V a a t o M r L i e i l a t i o n, Parjfe miilulér‘e dé M'GarsoN, notaire

I i BéthisV’SmntrPierre,• OB :

Deux M;«isonsI Si»*iflËrin$T .SA m Tr.H A RTIN .can-

^ n d e O ^ - e n Valois, arrondis­sement de Senlis (Oise),

iVAC LEbRS D tP m A H G E S ,i .» •

D i j t ^ e a r . f 4 è c c 4 ‘ d u ' l ’é r r c ,

I ' n v M i 'T e v æ v B la -

p i8 « a f l« î r w d u d i l BETHISY-; ; j

Qnf ponnranii eièe: nftinM eu tofaiit^ parlai'- •

L'acKu^iqahonrtÛltxliieiLlelilpmaiivhc ^ isa ia^ i .j|NÛft< M O T9t :une. heurei d 're lé ?% ' è'n' ld^Hai80 ii ’d'ccolc de lm1rt8j-l!*iiit-BlaTttit."’’'~ ‘— ■*

En vertu d’un jugement rendu parle I Tribunal ÿ r |il fif-premiéi^ ftstanco de

Senlis, le f> ^ ë lm i t mai miT huit cent' soixante-dobzef(feregislré^

A la rqqÿête. rfe !'l*^H.^lfenri-Clovis I Clioron,I CnvergifOp; 3«M .I nouvner, .tan t ieç

que po.oV rasdstRniI n éc essa^ A l^.dai I après nôimqée,re[ I:I cédure;r!.3^I Cliuronî^'RS (Sdnie^ ‘ ucniowi I semble ^9^liiity-& iBl^arli ;I Dem^âQirs,-.-.ayant —“* -I Cbalmint'éie—“* ^I civil dé: Béuli

nt,^ÿm eurant àalX^u^'un, ma­n a n t Dersonne

lidRcMe la pro-.éOimre'lfartins

defheunnt

« irs,.ayant pour^'avoué M* é ie r M t Tribunal.

... . é u l i ^ j fim eurant, qui est constitué pour e'tft. / ' 4 .

En p ^ M e ,c o u aixdûm oni appelés I de : 1- INadéme ^ u ise-E u id iras ine I Choron, épousé de.?)^ fêah-Baptiste-I kidore Oràainf, ivàn Æ T .V K ,te q u .l dtd i . m ^M èilJn; 3»Le

. 1 SOU; nom per- I sonncl ( ^ |> ô u r r a ^ 8 ||n ce ê t rautori-} I sation Dérâwaiirce'à . l i M m e son épouse I et la validité de II Mpcédure.'' et encore I comme .co4u|enr n tif^ d e -Elie-Yictor I Choron,'«)a neveu m jfi li in c e , nomme | à cetteLifoùption m r (|4|bération du

................... ûé^pârM .le■ conseil ÿ ’.femillo ( e JugeId e p a » d if-« an to n m l^ p y , le vingtj Ijanvicr 1873* denàiiiiiht i Béthisy- I Saint-Hartia;. 8 * et ù W Hefteni-Ferài-. Luaod (2 b o ^ ^ - ùtaçon* deMeSTaol à Bé- I ibiBy-Saln|-Jti|)rfiii'i tant"en~M^ nom que' I comme sMirofiéMuleur d u ^ i i ie u r Efie-i 1 VictQr-Choroq,.Pommé > cette fotu^oo I par deiibéralion du conseil de raiiMlle I dudit miiMwr (WidatOidu. lieux nntnliaa

lâlim cnt derrière, servant de grange, avec petit terrain devant; tous lesoits bâtiments couverts en tuiles, tenant par devant è ta rue, par derrière Hippolyle Lesucur, d’un bout la cour commune, d ’autre côté H. Delignières.

El quatre ares (rente-neuf cenliaros de jardin, en face ladite maison, tenant d’un côté le premier lot ci-dessus,' d ’autro côté Pierre Garrièro, d ’un bout Joseph Thieux, d’autre bout la rue.

T r o i s i è m e L o t Deux ares cinq centiares de terre,

terroir de Béthisy-Saint-Martio, à la Grande-Cavée, tenaut d'un côté Monty, d ’autre côté Eugène Hasard, d 'un to u t U Cavéo, d’autre to u t Ramet. >

Q u a t r iè m e L o t ... Cinq ares treize centiares de terre et' bois, même terroir, a la Chemibée- Blanche, tenant d 'un côté Joseph-Le- sueur, d’autre côté M. Delagrange, d’un bout Meunier, d’autre to u t la sente de Bericite.

C in q u iè m e L o t .Un are quarante-cinq centiares d ’aul-

naie, même terroir, au-dessous du Pra- mier Bochel, tenant d ’un côté Nicolas Carrière, d’autre côté André Leclère,' d'iin to u t la rivière, d ’autre to u t Théo­dore Ramci.

S ix i è m e L o t .Quairo aros dix centiares de terre,

même terroir, à Ston, tenant d ’un côté. Joseph Leroy, d 'autre côté Hubert Ha-, ta rd , d’un to u t Personne, d ’autre bout; la sente.

S e p t i è m e L o t .Deux ares soixante-treize centiares de

terre et pré, même terroir, à Boh- lière, tenant d’un côté Ramet,, d ’autre côté Denis Thieux, d’un to u t Jràb-Bap- liste Collas, d’autre to u t Nfcolas (]adot.^

H u i t i è m e L o t , . ‘ -Un are trente-six centiares de (erre

marais, môme terroir, aux Caves, te-' nant d'un côté Victor Dufrcnne, d'autre, côté Personne, d'un to u t la: rivière,, d’autie bout le sieur Oufeenne.

N e u v iè m e L o t .Un are vingt-neuf centiares de terre,;

môme terroir, au-deésous de Jobridaj te-' nant d'un côté et d ’un to u t Victoire, Hasson, d 'autre côté et d 'autre bout' Honoré Lesucur.

D ix iè m e L o t . tDeux açes trente-huit centiares de

(erre, mérno terro ir, au-dessus du; Comble, k n an t d'un côté nord la sente de Job rida , d 'autre côté H . ' (k tte lo l, d ’un to u t occident Louis Graux, d’autre bout en pointe.

• .O n x ië n i e L o t . _(Jn are trente-six centiares dè.boüj#

même terroir, aü Premier l ^ i ct, tenant d’un côté Aotohid' C lhière, d ’aufip 'côté ,1e r e p n ^ ta n t .HnaiiM,

iré (^llas, d’autre to u t

' E t e n i f c ^ .ment a p p e t é d e l i . P iéfre-X ndnT joye, /U B d lr-r ie ü f cènU lres de pré .I ment aptolé de I I . Fierre-André Joye,

I cullira teurrikkÛ nH aétih ; B é th û y -^ M t- 1 Martin, ir, ir.'r r- ’ C fij 'i , ;cii;p

J tuteur ad lioe ^ mineur Blio-yio|ôx< I Choron susnommé, noqiméô cette/ooc-^ lU oo parI mille dudit mineur du v ii^ t janvier

procédé, le Dimanche quatre ■août m 3 v '> un i4M etd fe’vâeTéeriai'Jx^

paMe<uiiis4erMfeHlGruoo, nOlake

I■ enchères publiquesi des biens dont la

I DBÂIGIVATIOIV

; DmiM ailili, eu U jm ttos l'Sotile ou au l ly iè re , lie» AH le fort Vaquié-j, oeiMw- IRIÙV ert uo. sou^sbl, toniMM .a’uu Ifouniil et une cave, premier étage oom- ||)o té de trois pièces, grenier au-dessus Mttuvaii en. Rides, cour daus iaqiiMhi |ileux toits à porcs, appentis eu bois,

me, attenant è 'MAlê ' ' ' « r des Mti.UM“ *“

p vir^t-^

l'SlïWcrt’'’-

couverts|‘

le totalcentiarer,d autreu rd etrrançois:]

■bout au M eM A ^|T h je » i.

Une a m S S S b n jdÊ teù même lieu. Ira face V & p M a e o le ; c o n s e n t en lu n e cour commune, principal rorps de lU tlm e a ts compooé do inAi p t ^ au I rez-de-chauaeée, g rro i* a u ^ lé lM Bdtra

d’un to u t Honoi Gabriel Gressien

D o u z iè m e L o t .Trois àràs soixahtô^ëficé cèdRalra ï e

__ _ C éiJB iV tilttR M W yL E dW ls, tenant

d ’un to u t

V i n g t i è m e L o t .Deux ares trente centiares de pré

aunaie, même terroir, à la Plancne, tenant d’un cédé Etienne Thieux, d’autre côté Pierre Lesueur. d’un to u t la ri­vière, d’autre to u t pluueurs.V i n g t - e t - u n i è m e e t d e r n i e r

Lot.Deux ares seize centiares de terre,

même terroir, au-dessous des Ruelles, ou Boutière, tenant d’up côté Benoni Choron , d 'autre côté Denis Thieux et autras, d’un to u t la sente, d ’autre bout Robert et autres.

M I S E S A P R I X_ Outre les charges, clauses et condi­

tions de la vente, les enchères seront reçues sur, les m i ^ à prix suivantes, f i z ^ par' de jugement, su^énoqcé.

P our le prem ie r lot, à sixcènla ft^ncs, c i ..................... 000 fr.

P our le:deux ièm e lot, à quatre cen lquarunte francs,c i ...................................... 440

P our te troisièm e lot, àcinq francs, c i ....................... 5

Pour le quatrièm e lot, àd ix ft^nos, ci .............. 10

Pour le cinquièm e lot, àcinq francs, ci..................... 5

^ o p r lo^sixièm e lo t, Àcinquante 0*81109, c i 50

P our le septièm e lu t, ùtren te frw c» , e r . ........' 'JtO

P o u r lé ' huitième lô t, ô ' ''tren te francs, c i -30

P our le neuvièmo lot, Avlngls fhtDcs, c i................... 20

Pour le dixièm e lu t, A >cinq francs, c l....................... 5

P our Je onzième lot, àun fra h c .'c i .............. 1

Pour le douzième lot, ù quûlro ftoncs, c i . . . . . . . . . . . . . 4

Poué le treizièm e' lot, àquutro francs, c i................... 4

P our le quat9 i*2 ième lot, û 1cinq francs, c i........................ ' '5

Pour le (juiitzièmo. lot, Acinq francs, c i ' . i ( ; . . . ' . ........ 5

P qur le seizième lo t, ô‘‘urilTonc, c i ; . . . - .......... .'........ 1

Pour le d ix-septièm e lot,à un firamé, c i . 1

P our le dix-huitièm e lot,^ quatre fTancs, c i .......... 4w u r I» dix-neuvième lot, :

à ciqq francs, c i................... 5. jP our le vingtièm e lot, û

c inq francsj c l . . . . ; .............. 5' P our lô vingl-et-unièine e l dern ie r lo t , à vingt francs, c i................................. 20

'Total doA m ises û prix. : . . * donzoC enlcim dianteM ncè, ’ ’ c i .......................... ; 1250 ’

Le Propriétaire-Cérant : E rtè it PôXBR.• 'x ' ■ ■

i f -<1

RÙ FottiVaquier, rtôme urixilr, tenant PÇ?0 « î . u ^ l c i-d e s^ ,

lel. au p u to u t .ytclor Du. 1 1 ,dputra.tou t Eûgèto|lazard.

. Q iiç iD r z iè tp e .L o t . , ^ û ^ t r o ûrcfisç^ififorthii^^ntiarra de

fireTmfine terroir, au cnMnin de Ber- eUe„tenant d ’un côté Piarra Carrière,

d 'autre côté veuve Rabbé, d’un to u t I PiRre ColUs, d’autre toUt .l« > ^ jte ia . ,ds B«riette. ' ^ ‘

Q u in z i è m e L O I. " ,0 j ' .Tioisaresquaraatfrdsap çeatiattiyde{ terre, même te r r o ir 'è Ston, tenant | d ’un côté Louis I b u r d , (taul^e côt(i Aristldé Choron, d'un to u t Alexis Luc, ;

V M ixata(e|-Idnt terre,P ^ é 'M m lf è SioA Ig w i.ilA A a ô lé j 4(fi’liin iira ( véov* nabD e^a:aiim côté

m b b é , \'«r,'^d'4ti(fàstoul le chemin,'

D ix -r^ p tlèV k to Soixante-huit centlaree de terre,

m™.; (“ VA i ’m sWiveuve Rablie, d autre côté Grujfer,,

to u t Ixiuis jj^pN9 ^ |fau tre to u t la

' '^ D f t j ^ h u i t îô ih Ô L o t . ..fe im jm -tlsB te -n è ta f centiares de

Port Viquier, côte J o e ^ ' Heoneiiee,

d ’autre c ô té - P ^ n n < d'oo to u t la ri< i^e ^ et d 'antte , t o é t - les liéritien

L tTrok de terre,

même terroir, i i r iy f i s iU liv e r , tenant d 'un côté Jeen-Bapliste Choron, d’autre côté Joeeph Leroy, d’un bout ta n o te , d ’AùlTO'bout la rivière. '

S’odraster pour les renseignémenlt : A SmHi, à M* CHALH lN , avoué

poursuivant. ,' A'Bétbiâv-SainhPierre,' h H* Grisou,

•nelaire, oeporitAire du 'cahier u nM.

Fait et rédigé per l’avoué poursuivant sousRgoé,

A toulis, le ^ ' i a i l l e t 1873.Signe : E. Cbiu u n .

Enrtgistré A Senlis « 1 cinq j«illet 1873, reçu un firanc quatrotvio^ cen­times, dixièmes compns.

S ig o é : Bovn;Pour ineertjon, . .

p ié : É . CoA Liun.' ,, ,1

E tu d e s .d ê ^ 'i.dêjl'- B n a t t i t C fo aJM im , et r ie M N » A tfefoert;

avoués èS eo lto ■ ^

* V E I Î t É , . ,' Sur Publications Judiciaires,

A nx enchères j^ t iq u e s En Thndience des criées du IVibuDal

civil de Seolis, séant au Palais de Justice de ladite Villé, rue Neuve^dè- Paria,

D’uue PropriétéSiluie k CRAPY-EN-TALOIS (Oiie),

‘ t ; r » Ja r«e Seint^Aiare, * 11 ‘ le l r io a d i î f e '^ — *

d n d h S én ,L'Adjudication aura lieu le H « r 4 t

è ira m te J m l l l e é t W M , heure dam idl.: •

Oq .|1^( savoir è toua.cçux qu’ ^ ÎM ftic^ ra . q u to exécution ,d ’u.. jutornenl rendu sur ^ u è t e par le! tribunal civil de première instance de' Senlis, le vingt juin mil huit tieoT'doi- xante-dopie, enregistré,

l '^n lfee ra au» requête, )^ÔM»aite$et d il^ n c e d«MrBrnes(Çhsfipiipiet.Plirre Aubert, avoués, demeurant (ous deux èS tnlia,

dNueuranJè Crépy,Occh|jinl pour eu^-idéiAee èn ItUite

qualité, en préaehce' de J e a n ^ la w Buataini Boriilcbe, sos^nommér'viA hil

«4> dûmes! appeiék

Procédé le Mardi trente juillet’ inil huit cent sdixante-doiize, heure de midi précise, en l’audience des criées du tri-, banal civil de nremière instancç de Benlis, séant au palais 'de justice de ladite ville, rue Iveuve-de-lws, i la vente et adjudication publiques au plus offrant et dernier enchàiaseur de la propriété dont la désignation suit :

D E S l â N A T I O r VT e lle qu 'e lle e s t ineérée a u cahier

d es charges.Une caserne d e gendarm erie; sise én

la ru e S aint-Lazare, com prenant :1* U n vaste corps de logis, élevé de

deux étages su r - c a v e , oonsln iit en piérree é( couvnd en aidoisch, e t divisé: en six logem ents, dont d n tx ' au rez-de- chau!sée>et d eux autres & chaque étage ;

2* Un a u tre 'c o rp s d e to tim en i cou-, vert, eu tu iles, e t d ivisé on écurie, rem ise, scellerie e t g renier ;

3*. G rande cour en tre ces deux hMi- m ents, dans laquelle ex isten t cham bre d e sûreté , trou a fum ier e l un àpitentis;

4* E tja rd in derrière l’échrie , d 'une contenance, y com pris la cqi)F. e t l’em ­placem ent des b ô lim en l^ d e ymgl-deux ares environ.

La propriété tient par devan t ii la rue Saint-Lazare, du côté couêhan t è H .. F ou rn ie r, au m idi à M. Dèze, et du c ^ é levant .(^iicore à M. .Foiirpicç, c l. ünuiê-Pélix-Litcien M aihlouj père.

M I N E À P K I XO utre les c h a i r s , clauses 'et condi­

tions ' énoncées a u calflèr a'eifichère d é p ( ^ au greffe d u tr ibuna l civil de Senlis, Tim m eoble ci-dessus 'désigné,, s e n rc r ié su r la mise à prix fixée par lo jagem enC du vingt ju in m il hu it cent soixante-douze, à la ' som m e de v ingt' m ille francs, ci. . . 2Q,000 fr.

N o ta i w ,| |iy .R p ro m c s ^ âeq iro lo ii- ; galion d e l>ail afKM M rtem chl p ou r une période de. ,qilinze annéœ , è p a rtir d u prem ier jan v ie r m il h u it ’centsoiZiinte- trcize, m oyennant fflif Atiif cents' francs, pa r an.

S'adresser jtour Us renseignements : 'A .H ” CHALM INetAUBEItT, avoués'

poursu ivant, dem euran t à Senlis.3? E l au greffe d u Tribunal civil de

.Senlis, où Te cah ier des chargés est"posé..F ait fé r^ i f ié par les avoués poursu i-

vants’sbussianés,A Senlis, té c inq ju ille t m il h u it cen t

soixante-douze,'i ' "S ig n é : E . CasufiN e t A u iik it .

E n r ^ i s t r é . è S en ju , j.le six ju i l ­le t m il. h u it ceo t soixante-douxe, reçu un franc quatre-v ingts centimes , dô- .eiqM s.comprta. . *

Signé : D < ^ .‘P o u r insertion, . .

Signé : GHALMIN.AÜBERT.

■ »“ Ar t .' 3 .Etudo de M* A ngm atO ! ^ a m i r o j n ^

aVôiié ASenlis, ruè NeuVodêèParis,"' n* 17, successeur de M* FREHY.

V«mt« su r lielùi(i«ia •P a r le m inistirede H* liBRicuuR,

nolOH-c à Nanleuil-le^Haudostin. cemwki à cet effet,

DRA res 9 0 €|eaU «res

de T erres u t c m i l * A . HANTBDRtlU9.HAb-

DOfilN çt VER8 I6 MT,: „ M | | i r e ' i i . * t o

Qùipourrcnl être renkis.

- 4*M . Jcan -B ap tis teM ariin ,m archand épicier, dem euran t è N anteuil-le-H au- do u in , au nom e tco m m esu b ro g é -tu léu r foisant fonctions d e tu te u r de l^oois- A lphonse H ariaval, m in eu r issu d u m ariage -d 'en tre m adam e Suzanne^

. V ictoire H u b e r t-e t M. Joseph-Edouard M ariaval;.

5* M adame Louise-Josépliine-Augus- t in e . M ariaval, épouse de M V iclor- M arçelin .Bonnefoy. lam piste ; ledit s ieu r Bonnefoy pour Tassislancc e t l'au to risa­tion nécessaires à la dam e son épouse e t la valid ité de la procédura, dvineu-' ra n i e iM m ' le è Senlis, '

Ayant H ' Ghalmin pour avoué.6* Madame F ran ço ise -E lisab e th

H ubert, sans profession, veuve d e M - . 'E ticnhe-A lp tonse V .'ii^iny^ dèm puranl h Monnevirie, près Cli'aumont (Oke).

Ayant M* Vantroys pour avoué,T ous les sus-nom m és, au nom et

com m e héritiers chacun p o u r ' |iart(e. ainsi qu 'il est expliqué s u Jugem ent

.siis-énoncé' de M. F ran ro is-V k to r' H u b e rt, père , :

Eu présence ou lui dûm en t ap |trié de M. Jean-Ë{lpuard Leinaire, m archand d e v in s , deû iciin in t à Droizelh's, cu m -’ m u n e d e Vers’g y . au nom e t comme; subr<^é4ÛleHr ■ ad hoc - du mineiir> Mariaval sus-nom m é, nom m é ù celte-

.fjpnclioa p ^ rd é l ib ^ l io n . , du 'd jx iév ric r m il hu it cent soix.’into-dodzc, ' ' |

' A la venta aux euclièrcs |»ûbliqués aui p lus offrant e l dern ier encbérissenr e t' à l’eÿ tincjiun des feux des immçublos (lo h tlè dèsignalinn s n i t ' l "

Vingt-cinq arcs irèfate-L*pt ceotiY es d e te rre , te rro ir de N dritém l,'-au hief- C hênot,.oii croiri du Chapqlain, p rè s r iu c n e m in ' ri'()flneî!, tc_nant‘ ‘d’im, coté d ’o r i è l i ^ IIH f, L'fîqrro ^ Mârrel-Mu- reau , 'd’au tre côté (Toccldciit'è MM.' V ictor'M ail e t (foeboix, d 'ub bout d u ; m id i à M. Leblanc, e t d 'au tre bout d u , no rd à M. Dufour.

* i h c H s I è H a e M jpt. Q u in io 'a re s quafjrè-vingt-liuit çmi-.

'( i q ^ ! d p te rre ,-m ê itM fje rro ir , au 'm m d u petit- N oulm , ten an t d 'o m n l aud it chem in , d 'o c c id e n t'a u x héritiers Hagdclain e t à M. Frendyn, du niidi aux héritiers G aillet’c td u n o rd » M.Gollinet.

T r e Î M i ^ w r %.mh.H uit areé h iiatre-vlngt-quatro ceii-'

tiares d e te rré , même te rro ir , an chémjn de Bètz,' ten an t d 'u n côté nord" à M. Tartic'r, et M. B auchet,com m e ferm ier,' d ’au tre e t d 'u n bo u t d 'o rien t à M.

•Lefovre, com m e fermier* d 'a u lf r to u t à H . T arlta ixe tau trcs.

. ' V H u l v i è a â cT rcntearessoixante-dix-sept-cuntiares

d e terre , te rro ir de Versignjr, lieu dit la Remise aux Justices, tenant d ’un côté au sien r V inricnne e t au tres, d 'au tie cô té aux môm es, d 'u n bo u t à madome de Junqniôres, d 'a u tre t o u t a u sieur Rabin, com m e ferm ier.

, | U | « E 8 A P l U XIndépendam m ent dm c to rg es , clauses

e t cohaltfdnè lnééié«s‘ aq cah ier des charges, l’AÇudicatioh au ra lieu su r les m ises è prix suivantes, fixées pdr Iq jugem ent sus-énonré, savoir :

P o u r le prem ier lo t, su rcelle de . . . . ...................... 500

Four le deuxièm e lot,-suroelle de ......................... 60

P o u r le troisième lot,s u r celle d e ................................... 100

P o u r le quatrièm e lut, su r celle d e . - 200

L'adjudicationau,jiieu I Z B î A

Ji n a t r e ' 'A ta ià i 1 M 9 .0 Taprês-midi, én l’é(ùda'%t par le

' minislere.ide M* LBrac((Vh*'rifolalt'f'è N anteuil-»^udouin ,'corfira is è cet' effet. ' ' ‘ è-

E n vertu d 'u P 'ju s ^ n ie u l i^o d u ro q -tradictoirement entre lêa, ptrUes ci- apt^foôtotroéeapar la Iribfoill civil de première instance de* Senl'is,/ Ipêvingt-

Juatro mai mil' huit cent ^Miitante- puze, enregistré qt signifié, ,E l aux réquêfe, ^ u ri\fitu atH R h^ce

de H/AMIRHiie-KlTaiB lla to rt, proprié- (aire^ deifiaunnt a Pans-PaiSy, rue

' ïy a n fÜ 'V a n ^ y s pour avoué,!'Il sera procédé :Contre, 1*. Madame Suzanue-yidpire

HhHIvaL é |M )u ^ ^ V.* Victo^Ad(&he Vitry, ma.rcbaii^ ép ic ier,, ledit rieur Vitty, pour, (’asDMance et l 'a u lc ^ t io n dflLkdamejioaéipquaAAL U. y auU lU e la |wooédur«r.dritoMn>qA e n s r i p ^ à NanteuiHtt-UéutoulD- '

3 * M. Aitxandre-llippolyle Mariaval,

S*"m . J d é ^ ^ d f 4 M a ! i a v a l , | ! ^ , ‘maçon; demeurant- è N an ten il-l^au -MOtlin; A V1I1

cultivateur avec lequel elle demeure à- Baron,

E tied itrieu r Flewy,Il apport que ladite dame F le u ^ a

été sé^réo de hiena d'avec son mari.Pour ex tra it conform e r ^ i g é par

l'avoué'soBSsigné,'Senlis le quatre Juillet mil huit cent

soixaute-denzo,Signé : Errrst (hiAUii.Y.

.. Enregistré à Senlis le quatre juillet mil huit conlsoixante-douze, P I n , c* 1“ : reçu un franc quatre-vingts centi- nies, subvention comprise.

Signé ; Bo in . ' 'Pour insertion : , ,Signé : Ernbst Cn.vüuN.'

Total des mises è prix . : 860Fàit'èt rédigé' è Senlis (« r Tavoué'

4>oursuivai>t souM^né, - ■Séniis. lecinq juillet rod huit cent

soixantodquze.Signé : A. Va m r Ot s . û Seplis, le si)( quitlct

mil huit cent soixante-douze, rc«;u u r franc quntro-vingls centiines, dixièmes compns.

Signé i Botn. S ’adresser pour /ra reNvetpnemeitl« :

A M* V A rn 'R O t^ avoué poursui­vant la vooto ;

A.U’ m b l H N , evoné codifiant ; 3* A'M* LENIGQüE, nota'ire h Nan-

tenil,dé|to8itaire des titres e tdu cahier des charges.- i - . ' ‘ Pour insqrtion,

Signé : VANTROYS.

EÔÂfe'do’ iM^ E r a t o i l CM AIi m m ,avoué f Beùlli, YUê BainMHilaire,

numéro 10, -

T S é p a r e l l e e 4 e b i e a i a

instèbce de 8 enliahaTld|M«ptjui«mil- liuitaent sôlxanldoUbéri-raMroa: '- Madame Louisa-Dnula Redon,épousu

ss4 b i M. Jean-BapUsle l^eury, anriqn

A rt. 9.1 • ; i.S t f e i é t é T o u r i a é l ê r ' ' e t C * .i. D 'un acte ro ;ii |M r M* Benoist, no ta ire a Senlis, soussigné, le 'c inq ju ille t 1872, p o rtan t la m ention : 1

E n r^ is l ré a Senlis, h* cinq ju ille t ' l ^ 7 3 . , ^ i o 53* vorsocase:.!, reçu trois friincs , duubie décim e soi.xdtite r r n - . tiim*s; .signé ;B o y ii.

Il appert :One p a r ihodificatron à l 'a rtic le c in q '

di.« .slaluls d e la Société T ourneur cl G'*, : Société en ’ com m andite sim ple ayant p o iiro b jc t la fabrication du chocolat, riout le s i ^ est' à Senlis, n io ' de! Nanleiiil, la r a is o n ' Soetéle T ourneur RtG‘‘, e t la dénom ination Compui/tiie' SeiiiMiMNr , constituée avec un funds ! social, d e 50,000, frano;. actep a s jéd é^ h n t'M lll<M 'U enoiA; le Htiijt-] el-un m ai 1 8 /0 , e n r ^ s t r é e t p ub lié ; '. Tou.s le s 'c o m m a n d ita ire do: ladite

S ociélé , dcnuintnés au d it a c te , tous d 'avis uuaniinc à ce .su je t e t aans ([ii'il puisse on aucun cas résu lter pu iir eux personnelle^u'iil 'mçcutio .respcmsabililé, o û l’ MiloHkü ^ u r 'l ü d em ande , ilq M. •Isidore-FiilMo T o u rn eu r, fabrican l d e , ch o co la t, sOiil géran t responsable de '

: bdit(£< Sociélé , dem euran t à Sentit, l'cm priint'pVo^>té par M )Ui-oi'j(rsr|uïi coiicurivnce de 45 ,000 francs el MO/qinjiiejit de la m anière e t-so n s b v l roiiiiitious s u iv a n te s , proposées jiar M -Tourneur.-

L 'c tnp run l au ra lieu i»ar vo iode spus- crip tiôn >|iAblique jn.squïi 'céifcurrcnco do 45 ,000 francs.

P o u r réaliser ce t e m p ru n t; M. 1\}ur- ncu r ém ettra 100 obligations, 5 iiou r' cen t à 450 francs clitncune. (W obliga ■ lions prend ron t le nom d 'Q bljgaliunsdc kl (IhôÀilaterie'SctiKriéniie, Sociélé en éoi'ninandile' sim ple, ayant son siige social è Sentis, en une Usine ^ rv a t i t à la fabrication dg chocolat^ — Ç raob li- gatiôns’éeran t an p ô rfeu rav cc côu|>o^s à tfétaêher, d o n t le p rem ier couj|oo ^ r a celui d i i ' i * ' janviri* mil h u it cent soixante tre iz e ;— Elles seront ex traites d 'u n liv ra è . souche, nbm érolées de un è c e h t , ’e t‘ rignées par te géran t. — Chaque obligations n roduira .à com pler d u i* ' ju ille t m il n u it cen t soixante- douze u n in térêt annuel de 2 2 francs 50 centim es payable par sem estre en deux term es q jau x do 11 francs 25 cen­tim es chacun les I* 'jan v ie r e t 1’* ju ille t d e chaque année, à Senlis è l'U sine, su r la pré:«n tation des coupons' échus et w q ç fe (jé luclion d e è ’im nôl. fles obli- gèh0vi8''scr)nt rom toursiiules à hOOTr. > chacune p a r voie d e 't i ia g e au so rt sa­voir : 7 obligations in prem ieé janvier mil h u it cen t. soixanle-quinzo, pareil nqq tb ro Ira prem ier jan v ie r m il h u it ceiit-soiRanle-sriie îr m il Ju tit-q e st qua- t r o - v in g t - ^ t inclus, e t 9 o b li^ tio n s lo prem ier janv ie r m il hu it c en t qiiatrc- v ing t-buit. Le rem boursem ent aura lieu è Denlis au S 'u ^ social. lA tirage au

-sortiaura lieu au Siège soêîal è Séidis <*n i présence des po rteu rs q u i voudront a s - , sisler è ce tirage le prem ier octobre I précédent le rcIniKmrsnment, h mi(B,.el ainsi surcessivcm eni d 'année en année. Chaqao tiragn RU so rt sera annoncé 15 jo u rs à l'avance au m oins itar une in ­sertion dans lo jou rn a l ou les journaux

.désignéa pour tes a nn o u ie s jiidiciàireedo ' ra rrondisscn ien t de Sentis; ol des listes dm nnniéroK w trtis seront affichées dans

.les bureaux d e là so rié téê l p u b liéesd a to les m êm es jo u rn au x . 'liCs inlércMsdes cjdigations a re m to u rse r cesseront d o . cou rir la prcih ier janvioê q u i su ivra le

to Honscriphiih 8or£ 4 iv o rte è Senlis le D im anche 7 Jn illc t!l873 .- «' lira ^versements se ron t effilcfiiés 'ii Senlis en l’é tude d e ld * Benôist, notaire, savoir

1 5 ^ ô com pteri d u 7 9 h i l le l l8 7 3 . -

100 francs d an s 6 m ois è com pter Cm d u d it j (m r7 .« d lla b l8 T e i- f

Il , :»t ■■ t t . -m‘T otal 4IIA francs. CkaI • u m o n ia h t 'd e '.l’O b lig a tjo n .» \. .< .1 •.

Les veraem onts aoront oonstatéa >ipar d e s im p k a rô e ô p iw é sa u x rohm d e ceux

.XRil k ^ - a u r o n l effocliiés ev iudiqBaill i-rsf M

les ‘num éros dea.v Q b li^ l i to » : 'a w is - crilfis. •, ,

Ces r é c c p i ^ se ro n t écbâia|riR iB |k^ le versem ent d u m o n tan t.in tég ra l d e ro b liga tiou so it de 450. fr. e u a lie des titres a u porteur;

T ou t 80usori|it'eur a 'u rala .foeultéd’aii- ticlper. Ira, époques d e verbem en t-ao i- fixées m oyennant un escom pta de 5 p our 0 /0 d o n t il lui sera -teoooM nple su r les som m es p ar lui vctsqçs. ■, »/,

T ou t versement en re ta rd t o n ^ , i Q - térêl do p to iir d ro it é h ', 'f i p ^ c , 't o ' 'j a Société h raison <|e S - to u ru n ) aq à com pter du jo u r de T é ilg lD ili t^ a w m ise on dem euré. .7 ■

A déièu l de paiqm tol dra.v^rj*-'~“^*- aux échéances c i-dcssusfixéra ,.!

‘nco r. en sa qualité de G éràiilptoi les débitciKs cn re ta rd . A. ,çc (w ftum éros’dc éits O b lig a i îô n ÿ 'M ^ i d bliés com m e 'défaillants dàns)à.jO |d^

'OU IrajüuriiaùY d i^ g n é s p o to t o à nm yf- cos jiinii-iairra d e / l a rr9 iid i^ a m ç ^ ,,d e S éiilivçL qtitfjze j •ii‘ès'a)^pra cetja 'iM- blicatitiii il séra prO«iédé''à ces oblig.'ition’»! ;niur 'le , «atgjpjft r isques et (‘érils dit "rélariraraire n mini.sk! jB di-

’O l le vciito 'aura lidu ' i S e iillfi/''ilA enchères’p iibliqura, en l’éludi&'ri . 'm ù la m'inisfè're de M*'ilènoist^, u o tr ire '. 'Â ^ ^ signé. IjOs récépissés ‘p rovite lr484aB O bligations aid sr vendaan feèon t n » b * e plein «Iroit. — 11 scr;t- déRv^-,<’ veaux réc-épissésaux a c q ü é ro ù ^ ic sn n m é rO sd c sO b lig à liq n sM ^L ; prix »lc la yeiile Uc' çrà OlingS

's 'iiiipùiera dans k s im é i» d c 'm tu c(i qui'.sera dû è )n‘So|;îéié paj-'^’â tuiro exproprié qüi. lusjcra, pa'smjug." (L la d ilférénce ou profilera dç 1 e x 'p m 'u .,

L i soiisçription sera clôsé^, qu 'elle aura aitèiiil, le c.bifl'ra .jqecèn t Obligations, e t elle sera . c o i ^ ù f ^ com m e n u lle i-l n<m av cnuoel Tc&jvén^ ino.irisserpiii'ri'stitiiéssu'r ^ p ri^u cU to de» réi:é|iîs.«és 1rs constatant j s i ; r i ïê sf^a p.'is a ltç tn i le prpinior aoû t m il h m t q m t .soixaulL"dbtjzo,'â m idi au plus ta rd , je cbiirre de 80 Üljligaliuns.

l.x $ pèrsonnra q u i lib souqçprQUldcs Obligatibiis, qu’après le prem ier ao û t m il hu it cen t soixant&douze, è ,i d i au ron t a tMiir com pte de Ji’in térÀ 4 ° prem ier verscméiU a e .d e u x .c e h l^ l^ ç s a cn iqpkT dn. p rem ier ju ille t ra il.^ |iu it

’l'onl soixante-douze, ju squ 'au jo iir ,.to .ça prêm ier vriv«m onl a u ra llcuj • ,

P ou r roxée.utioii des conditions qous Iraqiirltra aiira l irü la souscriptiooe(';dfs cônlrsta tiobs ‘nui punrra 'icnl su 'ràém r en tre la Soriéle e l Ira .O b rig âU ire^ le dom icile des O bligataires sera i r iu d e '' plein d ro it, à Senlis en ré ti ia è i de •M' Üenuist, soussigné

P o u r ex tra it, '/ Signé : Brrout.

Doux expétlitioiisdc racte;dqpjl,ex!rait précède, ont ét^ d é p o s ^ V u n e a u g r ^ e (lu tribunal civ‘il de Senlis fa'isànt fimç- liôns de tribunal de co m m èrcç ,e l l^wtaje au grell'e de la ju stice d e paix ÿq le six ju ille t m il i iu i t 'c ê n t , ào irilôlc- douze.

Signé : T ourneur

• ■ ■ . • . '" I lArt. 6. .

V b m t b

DRl i 'o o i l s d e

Suivant acte reçu par M* tiîî|éaiaii|ûi, r)Ufeire ô Senlis, les vini^-^éilx, lilia / ‘et cinq juillet tnil huit ceh tso iitaQ tq«M ^ cnregUiré, M. et madame vendu à Mi 'Alexandre D iin ^ ^ 'ù em ­ployé chez M. Xrpillièèe, dèmèuraui a Seuils, lo fouis dvioum tecf* de mar­chand de vins en dôêail exploité pa^Aux dans mm lUaisop sise è Senlis, aa.<cêiè du .ia rwè daiui-Piotro etiife tifl nie Ballon. '■ >■' V. lios opitosilions sero n t. valaUluMot

roç'ura en l'éludt^ ut par le ministèro 'de M' Bdlezcaiix, notaire è Senlis, '*

Art . 7 . <•SOCIÉTÉ iê

i im’ jjk , ,

' MM.'iraActionnaires dé la,S .lu Paptographiu V^ltalqbé û n t o fiililé limitée ^n'\'rapilal ''dh ' ffl milloiis, sont pl^vciiuy l’aiaÆ -.... générale or> InahT '|foM Pm 4^oe huit'veut toixahtn élbn ie, niaidi Oéiie'*juil)tf7 cértV’ d EècviufOiiie;, à itlld? ^

“ ip ié i - d d ‘l’i

o>'UliiiMTèiv

'U s èô'mplÀ' dd 'l'iôrfttfeè' fe oeii(«>iziMroètmn«av‘ W r ^ \') | èsomexamcn o t.hÀ ùA M ^* '

'ÊlMentoudrit'irii m toaire et dil iêtthMril"fl«• ---------- M A d m ù sitsm m

« ' t '■ ') .M

Page 4: Lt'^TUATIOli ECHOSbmsenlis.com/data/pdf/js/1872-1874/bms_js_1872_07_08_MRC.pdf · «îaurà què dÙ paip sec, au liM des c

I #

' Ë t M lM ia fa t l tM IM I tn i ia U tiM PüW i 4» liiMie»,

n i K f f w w w t M :

fliiison“I t liif l f t il piiHMà 3 | l <i

i 8juRT-VU8T-DK-U)NCIiOKT, «MlM 4* PeMiUMIsieoee, tnon-

ëtaM M üldeSM rib»

4 i>IÜcM8 Sb ’i'iüuliiH 0 9 H

l^jnobr 4« celte conunane,

lolëliU

A ^ n m

ivoir: tepnnüM:lot«&U oe IroU cent do*

I inaatr a . . .r w deaxtènM lot, à de do d n « m n c t, d

iroittme lot, à

^00 oùn lieo lo Mi tIMW, heure de nldi.En T erta 'd> D tooote-T «M du loi*

lA U te de ) P o ^ W , huîader k Pont* WtfldWMMGe, t a date du vidA-deux hvfll>'189t, f ld i^ s tr i , Tûé, dtaooci e t iraneerit an bureau des h ^ th è q u e s de 'S taU i, le onxe rôai s ù in n t, vo^

I,,* a n leqnête, poursuite M “ s II. Antoine*R|poIas Fou*

Ktelre, demeuraut k Gom* ) jM u i^ 'A r ^ , numéro 18.

 ^ î v a b t , avant pour av taeconÜUii V m lë tnbiinàl civil de Sénlie, H* f t u l le irô v e , demeurant à Senlis, r ü o f i l i ik ld , n* 31 ;

Pteleédé éMitre : 1* madame Varie* liMÛ8e>Aim8tine Tissu, sans profeasion.

s d e ^ . liOais*Elieone Guériboi 'MUt,J |d j ^ d | i p e . demeuiant d*devant ànST-X tebdè-Loogm ont et actuelle- n e n l à G o m p iè ^ ; 2* H. Louis* VtfeoMfjéopold G oénbont, employé, demeurant a Compiègne; 3* madame V arie Véleb e G uéribout, épouse de 'M. W totas - Honoré - Lbden R i^nx , éoden oefelier, avec lequd d ie demeure k Compiègne, et cdu i-d tant en sen ■dta ÿereMèel, s’il y a lieu, que pour l’entbifmtion oéoesmire à la dame son épèoa» au»*noromée et la validité de teprocédore;

Vadame veiive Guéribout, tant n i pbo. i i m i^ sounel que comme ayant élé 'ç e ^ î i o e en bimis avec son mari, ét ‘il, lipiiis>Etienne Guéribout et iokidàine R igàüx, comme héritiers . 1.— nr l i e de feu V . Louis*

i o i G i ^ t a u t , leur père;s ^ e s , n’ayant pas d ’avoué

, _idiebce des criées du tribunal 'tté il Im première instance de Senlis, au 'U Ù iâ d e 'ju8lice.de celte ville, sis rue 'M tvb*dé>nris, le Jfenfirixmûllr 1872, M Bre,,de midi, à la vente au plus 'M tÀ t èl dernier enchérisseur et k T c â t i i i c t^ des feux des immeubles ^dÛtil la ditignation suit :

D É M i e n i A T l O I V

illbde cinq francs, ci Aiiir le quatrième lot, h

cÙtr de cinq fràncs» ri • • &R pour le cinquième et

d en ie r Ibt, k cdfe de cinqh ^ c i ............................. 8

Total dm mises è prix, trois cent soixante * dix fraùcs, ci..............................- 370

P U R O Et a poursuivqnt déclarq ici que^oqs

Hiy au chef desquels il pourrait é ln inscription noiir raison ' dliypo*

iues légales, devront ip iq é r^ ription avant la transcription duja g m e n t d’adjudication.

n i t e t rédigé par l’avoué poursuivant SOUSMMé,

Senlis, le quatre juillet mil huit cent ioixanteriouM.

Signé : P . DELGOVE.

Enregistré à Senlis, le six juillet 1872, reçu un franc quatre-vingts cen­times, double décime compris

Signe: Boi

S’adresser pour aooir des rettietpne* ému/s :

A M* DELGOVE, avoué poursui< vaut;

E t ati Greffe du Tribunal, où le cahier des charges est déposé.

Pour insertion,. Signé:P.DELGOVE.

i U n t t R M M M M ■M M I M e , '« M <

I deoile de l’aprèe*iMUt t a ' ru M d e a s à k e d e la V anon k vewlM.

p ta r i*o tr «bs h n m *

U nTROYS, « o u i ixHiiwl^ ^ n t te v e r d é ; . , , , .

«> A IC AbBEtiT, CllAtViN ^ HODIN, aVotiéepréeeutsklavent

S* A H* .BOUCHEZ, notaire k d lpéé iU lrttdunh ier des cliaigee cl lltteé de ^ropriéîté.

Etude de V Vicroa-Louis.docteur en droit, avoué k Senlis,

rbe RougemailKP* Id . V B N T 6

Sur Mitre taW h'W ér»,A Taudience des criées du tribunal civil séant k SebVis, au h U is de Justice,

e Iteuve*de*ftri8,l in e Maison

A y m i .■ tk W A .tlM i, C M r , J b i^ U e t MitiMihhttWM

Située k SENLIS, faubourg Saint-H artiir roule de Pkris, n** 2 et 4 , t a féce l’Hôpital,

t l i v C L . O ) ^Entouré de murs

Situé terroir de SENLIS, lieu dit les Fours k Chaux,

urne )Pic«e de T erre Située mfimê terroir, lieu d it dterière

les Murs de Saint-Laxare,E a X r « is l a t o

Qui pourront être réunit. L’Adjudication aura lieu, le MM M It

« r a t e V i i t l l e t hetitede midi.S’adresser pôiirbs reiueipnérheNfs : 1* A M* PBLBOIS, avoué, demeurant

Etude de H‘ B iH a e s t C h a lM tn y avoué k Senlis, rUe BaiOt-Hilaîre, n* 10,

V e n t e s t a r l l c i t a t i é nP ar le m im tbre de M'Betioisr, eelotre

à Seulü.

3 P ièces de TerCèS isK aui tem iii, de BOISST-FRESNOT

et PEROYE-LES«OHBRIKS. rànlon de NanteuîMe-llandouin, arrondisse* ment de Senlis (Oise).

L’Adjudicalionaura U e u le B ia u m Tlm|^ e t um J a i l le t f W S ,unè heure de relevée, eu la Maison d'école de Boissy-Fresnoy.S’adresser pour les retueiguemeuts :

A Senlis : i* A H* EB.VEST CHALMiN, avoné poursuivant;

2* A M* BENOIST, notaire, déposi taire du cahier dee charges;

3* ElkM*VRAMANT,nolaireà Baron.

tikf déJnrIemeHi de l'Oioe.

H*PBMaifr l i * t .fiM lU âd o , située k Saiul*Vaast*de*

n n ^ t l i n l pas de numéro,

E8e eét compoeée au rez-de-chaussée 'éTuta cuisine en entrant, éclairée par à iu 'Ita ttreB u r la cour; cour en très boo étet ae trouvant au fond de ladite cqiribet'cuVe k côté dans laquelle on tan ttnm 'que par la cuisine;

D’une antre petite pièce k côté servant de cbaiÉbre k coucher, éclairée par une f t a t t e ^ l e jardin, et porte par la* IjrtMié 0 0 accède dans le yardio; d ’une 'm Û v petite pièce k côté de la pré* d U a te , ériairée pair une fenêtre sur la cour;

D’une autre grande pièce avec foyer, écUIMèJikrdeux fenêtres sur la cour et ‘ta ft ftttétre sur le jardin; grenier M te U sdr le tou t; ce grenier est vlvrié ta 'deux compartiments; le tout à t e i^ e o 'té i lé s ;

lud lM Ibisbn est construile ‘jjiëfrci t a taille et mmllons, elle parait eo 1m éU t et très solide;''Petite éour au devant de ladite mbilkliOB dans laquelle il existe un 'bëtit M tim ect couvert en chaume, k t a t a t a m nee;

A Édihoerrlereentouré de haies;Ota tacéUe k cétle Maison par deux

portes ayant leur entrée sur le chemin, e tc e k u rm te et k gauche dudit blii- meol MHÉtat de grange;

iM ’Ictatelitint d’un côté k MM. Ber- 4 éptarcbaDd ta.volailles kVerberie, S fi ta o , pri>priiélU'*V! à SaintrVaast,

‘ ' c ô t é ’k 'M . Hotaoré Paulin, de •VlMt; d ’ qn bout par d e r r i ^ à '^ o . 'â ta v k n tD o ih m é , et d’autre

devant au, chemin ou k la rue. u ta s ta . tjui n'eel pas occupée

MnrCFHBnSSnl, ariiit été occupée il y a quelque temps par H. Alexandre Le* — t a ververie ; depuis elle est

Etude de N* E r m c t i i C iiB lau im ,avoué k Senlis

rue Saint-Hilairs. n*10.

si’B suaiRcuBai,En l'audience des criées du Tribunal

civil de première instance de Senlis, séant au Palais de Justice de ladite ville, rue Neuve-do-Paris,

Au plus offrant, dernier enehéritteur et à rextinclion des feus,

D*une PropriétéCOHMURAnT .’

P a v i l l o n , G r a n d s B â t i m e n t s H a n g a r s

E l autres Dépendances,IVEC

F r ic h e e p Ia a të M d le rr lè re ,Le tout situé k VAÜMOISE, canton

de Crépy (Oiie). L’Adjudication aura liee le ■ « r d l

• c Ib c J m i l l e i ISVIM, heure deraidi.S’adresser pour Us renutgnements : 1* A H* Ersc.*t aiALHLV, avoué

poursuivant;2 A M- VANTROYS et PELBOIS,

avoués préeenls;3* Et au Greffe du tribunal civil de

Senlis où le cahier des chargée est déposé.

IW àP âA W «H ÿtat*«p l centiares de -terre et bws, terroir de Samt-Taast, lieu “ yuty tenant d’un côté k M. Du*

r . q to n te fermier, d’autre côté i é t j , (Tup'iwut au cbem inde et d autre bout aux friches

ils,. Cette pièce cet cultivéej ^ H . t^jUrd, cpjii»te fèrmier.

.. _ ceo taaree t a terre, jMlr,iliea>dit proahe la maisont a i K krrâ PeUbois, leneat d ’un côté k M. Gbristoptie Thiénard, d ’antita’éôté A iIL lS ÎM , deCompMgoe, et Duiday, cCatalwat au cbemm, c l d’autre bout kM . P etau ;—CsItajgM cultivée parM. Dumei,

# e a r ta d M * a e E e * .I M s a r i i six e n liq re s ta terre, même

•meHe, d’au bout à u a inconnu, * '■ r t a Saint-

par kl. Do-

1 ^

A E i O r â n i \Ptarta trep tajonM iailte ta ta tte . >

iM Ikisén hw dlta 'èO tkPSitej|e rue des Pigeons BHaDB, a* Tt . GMapoeée dq i cuisine, salle \ mkifgte

it ia lta au re » d e< h au ee éo |. T n teri^m h re e au premier étage; raaniéf ét riwmbre mansarde. ^Un bmu iaid in . .B’n ÿ esstrk M . ROBEBT-POtlPART,

plaqiBiUon,li^enli8^___À I t O t J B R

II » e R e m i s ePOUR èleox yoitores

■t ONC

iearie R i r ie ix Ckeviix. th c o E ta iK ék v B ln m té .

8 ’adrtéser au Bureau du io m n a lm Sentis.

t a ' m ^ m U m I H è t a n 4 « m I I b M » •• Ê A ÿ dïé^m nw ta t e r n ^ ÿ

U lfc tw H JUtlim, aq u a u e nruiw h Mtaiilére lU M’..U|UCta>S>.

nefwre d A fa«kail-<r*^w K i|tot^ Sadresser amUt M* Lamcoun. «W ilA .

auditSenlis, n ie RougemaiUe, u* 14.2* A M* CIIALHIN, avoué,

Senlis, rué Saint*Hiiaire,,n* 10.g 'A 'M » OOLtAS-IfÉfIT, h n is s »

audit Senlis.4* E tau Greffe du Tribunal civil de « lis, où le cailler des cliarges est

déposé.

C E K a k t 3 B ^ Ç £ B Q C K > S 3 -

A V ^ D R Eu m

T apissière à 4 rouesTRÈS SOLIDE.

S'adresser au Bureau du Jonrnal.

A Céder de stettéPour cause de santé, .

Maréchal-FerrantS’kdrfsser ku Bureau du Jo u rr^ ,Ou k Baron, canton de NlAleiiil*ie^

fikudou'm (uîsë), à M. !£DOUX, qtii re'kplôite.

ttbü

Etude de M* dates C tta i l a , avouéà ^ l i s , rue Neiive*d^Paris, n* 22.

\ E K T KPAI SOirè DE SCRENCniSE,

En l’audieoca dee criées du tribunal civil de première instance séant k Senlis, au palais de justice,

DE :U ne Maison :

Sise à SENLIS, rue du Puits-Tiphaine, numéro 5.

L'Adjudication aura lieu le M a IHÉl selae dnlllet f93«, heure de midi précis.Sadrcster pour Us renuignements :A H* GODIN, avoué k Sealis, pour­

suivant la vente ;Et k M* CIIALHIN, avoué à Senlis,

adjudicataire surenchéri.

S tades d e M 'B e a â i è t , notaii A SthIU.

M tieeUkre M mrem t S ^de Terre, Pré et Bois

En quatre pièces Aux terroirs de Sl-Vaasi-de-tahgmonl

et de Verberie,

A Lianer parA Verberie, en la mairie.

Le Dimanche 14 Juillet, k deux heures. P a r U ministère * M ‘ Bw oisr, trUaire.

S’adresser audit M* Bm eisr, notaire.

E lid âd e M * M o r o l , notaire k Sent'v. succeeeeur de M* FjoR^aiNR.

Kécoiles

„ _________ . . I Gplnoniéio 3 , e t aij SétirélkHal Gmnmisiioii *vjliqinislralive, .o ù on pourra en prendib,.comiaisiianee'loua

.hü .joura, excepté '< les. rflménohw et IjouriférkW; dgàènf:hrnh«-ilu itiotip ù quatre hcureslfii soir, jusqu'au jour,de

Jadjpfjlic^tioii. ' ■■ •

, ^o ttûeur AURRY uk l’KTAPüG. pk* tissier-connsour à (’o^riL prévient le public qu’il ne pajera aucune dette qtié

contracter Ct-taRNCR BÈRA, sbn qui a quitte le domicile con-

, l _________

Le DimancItelA Ju ittti, h une A Staitat'Léonard, en la roalkbri P a r te miate/ére deM* Horrl, nofafre,

S'tadntaèr audit H* Moau.. notaire. '

Etude de M* M Itea te a , notaire k Gr^py-

«r«8 Ift «.de Terre et Pré

E a 6 piieee Sites aux\eiM lrè de Béthisy-St-Pierre,

Saint-Sauveur et Verrinm,A : v t a i 4 r « M rA Béthisy-St-Pierre, eo Ta salle d ’école.

E t par U m im siire de M* Riaous, N ia ire à GrJpp.

Le Dtmancite 21 Juillet, k uno.lmcure. S'adresser audit M* RiBOits, notaire.

Etudes de l | . . et R i c h a r d ,notaires k Pôiit-%inte-Maxence.

Vfettté mobilièreA PONT-SAINTEMAXENCE, nio ta la

Ville, aprèe le décès deM . J:-(kiRncn, P a r temiR»fèrefteH''P*TKK et Richard,

i a T é n .tr e 3 f? î™ iR é f il f e i 'm rà i,et jours suivants, s’il y a lieu.

Etude de M* E r a a e a t C b o lo a t a ,avoué à Senlis, rue Saint-llilaire, n* 10,

successeur de H' Henri DurAV.

Vernie snr l l e i l a l l o mP a r te Miotitere M* MAinE-DcvAlxaR,

notaire à CkamAlp (ûitej,1* D'UNE

Grande TuilerieSilqée k GHÀHBLY, arrondiasement dk

Sriilis (Oise), rue de Gison», près du chemin de fer projeté de Monisoull e Amiens, dont l’exécutioo doit avoir lieu prodiainement.

Cotte TuiU rieseradititéten D IX DOTS f w pourront être réunit ea totalité ou en partie:

2" Une ÜriqüeterieSituée k GHAMBLY, heu d it le Cioa,

Rivière, k peu de distance \de la Tuilerie d-dresus. 1

L’A djgdicatkm auralieolelH iw ËM tata ' v k o s4 4 M il« « I t a H c i M E f » , w 1a salle de la Mairie de Ghambly (Oise), k une heure de relevée. S’a d re iu r pour les renseignements : 1* A H* GHALMI.N,. avoué poureui*

vant, demeurant k Seolu ,.rue Saiot- llijaire, numéro 10 ; .

2^ A M* .VANTROYS, avoué k Senlia ;. 3* A H* HAITRE-DEVALLÔN, no­taire k OhamUf. (Oise), dépositaire du cabier des riiargea;

4* E t k M* GRANGE, notaire éu même lieu.

Etude de H* B c a a l a t , notaire k Senlis.

A Leuer meabléL i

Château de BaronAvec PARC de 15 hectares entouré

de tnurs.

A laouer r raaaaiiiMeBelle laiseï de Gnpipie

A Ssi'nf-jVicotea,BEAU JARDIN bordé par une rivière.

A Vemslre on à litinolrlilSOB DE Ci»à6RE

Avec Jardin, Ecurie et Remise,' A Saint-Piicolas.

1,6 tout contenant 5,000 mètres.

A VK IVDRE

IAISOH Dfi CilPiâlIEA pùJardinbien planté et dessiné,

Contenant I hectare 7 ares,A Saint-Léonard.

A LOUERIttSOB DE CUR1G1IE

Avec Jardin et Dépendances,A Villemélric.

A Vcmdre oa à Lomor■AISOH DE MBPiGIlE

A Ventany Avec Jardin et Déj^danoes.

S'adresser audit M‘ Benoist, NOfaire,

Etude de M* l l a u « ^ s , noUira a Senlis, suce» de M* Scnxien et DEtaeuv.

Deux MaisonsSituées k Gouvieux,

f h e c t a r e M b a r c o M c* s ic T e r r s » , B o to

« t F r t c h e aSur le territoire de Gouvieux,

Eu 40 pièces, <r.r

A v O a id r e p à r o d j n d i o o t l o hLe Dimanche 21 Juillet, k une heure,

A Gouvieux. en la Maison ü’érole. P a rte raiiu’»lér«deM*'Boi’CHKX, aoteire.

S’adresser audit M*Bouchez, notaire.

A D J U D I C A T I O NEn la Mairie de Saint-Maxiiùln.

U Dimanche 2 ! Juillet, k deux heurta, P a r le m iaiilére de M’ DVGVET,

notaire à Creil,DB :

m i t F O t J R A C H A U X . Deux Maisons• Situés kSaint-Haximin,

E t d e u x P i è e e s d e B o i sSituées terroir de Gouvieux.

S’adresser audit M' D.uovat, notaire.

A v e i a d i ’ p t a v t a d j i i i l j l e a t i o t aP arte mioûtdre tte M** Payer etRfcaiifia,

En rjfw tede M' Paver. f« n tfhuo.Le Dimanche 14 Juillet 1872,.k midi,

13 l'iècfes de TékVeTerroire de âicy-le-PeÜt, Grand-Fres-

Doy, Sarroii, les Aiicux, Honceanx, Pontpoint et Ponl-Spinte-Maxenie,

et une MaisonSituée à Pont-Sainte-Maxence, en la rua

de la tille .S’adrekter aiixdils ' M” FkvEN et

Ricuaro, notaires k Pont.

COMMUNE DK RULLY.

AiHiéieilioa de TravauxiK t t e r k*aapand iateeH B aR é daa

i,e IliihanchéV Juillet lS72,k 1 heure, En'la Maison dom munedelliilly

POUR LA CAMilAONB,I J A e ' B n M n e , i

Èaleii^nl' fhiré' la éuUihb. 'lié , nerVlre, M m'uhte tafm M b n ^ ffA C '. B^tarreate k M. GBNDROTi'jiltÎMI*

dtNiy GrotHle Rue, fc (kèll.

S T m Ï K H 'de MM. 0IT8 et 0*i d 'àbv tta . '

V c a t e a e t r g raM aaS ie d ’atajÜfVila!' D t ^ U BaèbérU.

S'adresser k M. û , (SiüdfnUt, f Porte Compiègne, h Sètalls,

F e r m a g e4 e hee i. 1 3 a res 9 Ô €•

d e T err e A L O V E R

PAR AOJUniCATIOR VOLORTAIRI.P a r te niiRialere de U* GRAixcé, notaire'

d rAamôip,En la salle de lu Mairie d'Ercuis,

Le Dimanche 14 Juillet 1372, k 3 heures S'adreuer d SI' GiuHcé, notaire.

Etude de M* ■ a l l r e - B e v a l l e e .notaire k Chambly (Oise).

Beau MotntierA VëNDBE

Par suitedesdécès de M. et M*“ MARCHiL A BORAN,

Dans la Maison de Campagne appelée le Couvent,

Par U ministère de M' MAtTAi-Dmiixm Le Dimanche 14 Juillet 1872, k midi,

et jours sdlVants, s’il y a lieu. 'S'adresser audit M‘ HAirRB-DüVAixoR.

Elude do M* B i> c U e , notaire k Acy. A c é d e r d é t a i f i i e .

Dans le canton dé Detz,A des conditions ivantageuses,

Une ExDloilalioi agricoleD e 1 3 0 h e c a k re s

S’adrétaér audit M* SksirE , notéire.

Etude t a M* A t e n a t e V o n d r é j a , avoué k Senlis (Oîm),

rua Neuv»d»Paria, n* 17, succcsMu r t a M* D t a r .

VËiTES ur converêonta saiste ImmobjUAre,

P a r te m te te te r e «te M> BOUCHEZ, nolaira à Senlis (Oise),

D'UNS \«R1N PE ST B E U BmMsofiSHui^k CBANHLLY (Oise),

. . . . . . . . . . n eÆ mwétm

U U | U « M « i r k M A ,Sala tM>Uùl4,;U nn SWVtaUM,

M chMiia d , G « i.ic a i. praplilliX (■ «A i,h« iiad ,fa r.

Etude de H* n o u irt, Nanteuil-le-Heudouin (OtK).

ExplollalioD agricoleA e t O O

A O Ë H E RPour «ntrer en jouÎMance de suite. S’adresser kM. i,éoR LIIOSTE, culti­

vateur k Clievreville (Oise):Ou k M'lÆNICQUE, notaire k Nan*

teml-le-Haudouin (Oise).

A L O V E RPoür entrer en iouissaqce t a éuite.

Une MaisonRue Neuve-de*Paris, n* ti,

S’adreeserkM. GORBI&GROMABD.

A L O V E RPour entrer en jouiatance de suite,

Üa tel A ^ r t e m i lComposé de sept pièces,■Rue 'Neuve-de-Paris.

S’a d r e ^ k M. CORBIE-GROMABD.

'À L é u i mPour le 15 Septembre proclialo,

Occupés,par madame veuve Dot-Fov, Rgè Neuve-de-Paris.

S'adresser k M. CORBIB*GROMABD.

A x ; o a « r A ç m n r i r t B

Une Béite MaisonC A H P A O S B .

A 20 minutes du cfaemiii de fe rS'adresser k M* P aver , notaire k Pont.

iT a l w irA ■ ■ !«■ « D«WM.

A v e p t d r e iM ir « d (f t i d të h l lè r ibE n Tétude et par te «oiateféro de

M* B rrtib , oeteore à Aey-en-Mtdtten, U D iroanclte V Juillet, k une heure.

f Ils Corps de Feraefy .

U a e P a r c d î e S e T e r r eBise terroir d’Acy,

3» L e D r o it a u x B a u x e t L o c a ­t i o n d ’ôK X 'iron 4 2 O 'h 0 C tire s

Terroirs d ’Acy et environs.4* E t S h e c t a r e e 21 a r e s d e

S e i g l e 8 u r p i e d .Terroirs d ’A cy^incy et Rosoy.

•aiuM W B it tm , t m r e

Elude de fM‘ A u r a s C a V é iM Iaàta t,notaire k ta ro n (Oise).

Vente MobilièreP a r te mmtstere de M* Vramaht, Notefre' Le Dimanche 14 Juillet J873, e t jours

suivants, s’il y a lieu, k'm idi,A BARON, près la station de Nanleuil-

le-Ilaudouin (ligne de Soissous),E n la MaisondeCampagne deU . llerbel

Càibi CoÉmereiiilebK

inM oe «t dkb lièli^[ \^ ^ n sociale: J . GùiHAn» et Cio

E/aliissemenf de Comptoirs cantonaux bl d’atroNdiMement gérés, par des directeurs pariirufiers d a ja |» a t» * OM alN hla M îte s: pour VEscompU du papier de Commerce, de Flndus- ■ tdie et de l'Agriculture. — Comptetr d Paris pour Us fonds publii s.

p p IT A L SOCIAL : 4,000,000 de francs

Soriété créée suivant acte passé devant H* D tm et, notaire k CrelL lu douze rohrs 1392. - Actions de 500 francs payables pur quart : le premier quart en soiisçnvanl.

Contrôle sérieux par un Conseil do surveillance nommé en Assemblée géné­rale par tous Us Actionnaires de la Socmé. — Conseil d'Escompté partout où treintérèlssociaux seront en jeu.

Toutes 1rs garaiilics possibles ont été accumulées dans l’acte de Société.

BONS DE CIRCULATION portant intérêt, divisés eii quatieséries,savoir :

La première k courte échéance ou à vue.

La.deuxième k trois m'ots,rapportant I 2 imur 100.

La troisième k rix mois, 4 pour 100. La quatrième k un an cl plus, 5 et

5 1/2 pour 100.Ces ' bons de circulation seront

payables au-Siégc social, chez tous les directeurs particuliers de comptoirs cantonaux et autres villes, mémo avant leur échéance.

Comptoir à Paii8~dcs valeurs mobi- liè.res pour que tous les intérêts des clients soient représenté* «mrplace, teus Usjours, afin de vendre cl acheler'k pro|K»set delcsla irc ainsi profiler des .fluctuations du marché cornino s’ils y «taieiit oux-ioémcs.' Ouverture du crédit aux actionnaires,

uuniivrçants, induslriclsut agriruliéui'S, avec ou sans affectation hypothécaire.

S'adresser au Dii-ecleur général au siège social à Greil, — et |Huir prendre connaissance des statuts, à Senlis, eu l'élude de U’ V axtrots, avoué.

Voir pour plus amples rcnse'igne- ments notre numéro du 4 Juillet.

O n d e m tm t le u n D i r e c l o u r p a r t i c u l i e r p a r c a n t o n e t a r ­r o n d i s s e m e n t .

LE MONnËCompagnie trassurancet 'Hkiri'' Fi

' IL Y ON (EnRRST), agent , rarrondisscment de Sralis. ro id tt C refburSaint-Rieul, n*'},

V E M O I l D BCom|>aghie d’assli'radcék'suè'M VIE,

dnNraitees en cas db'déM , Assurances diixtes, Hentes p itù tn isi

H. YON (ERNtar), agent gélütail kSenbs. . .

V a R é f f i o B a l e d u IV # r< lSociété d'assuraocœ mutuelles

contre te G R j^E ,,, . ^ . ..a»M. r o y l E n u s t l a g i n t g é n ^ J t f m

E. LAM BERT et c - , A Jfiee , Représentés k Senlis, par M. TOH I

(E rnest) , nie du Carrefour Saint-Riiml,

O N D i B l l t A I V i M a '<(e. S o m - A g e t i t s d ü f t s û h à é t ta

c a h tà h - Ipoül' ropfésenltir'le Jfointe,C‘* d’kllR* I

rances sur la Fie et contre f I n e e n ^ . I S’adresser à IN. V a n (E s H ie a « ) , |

agqnt général pour l’a rro n d i^m e o t de | Senlis.

tnttte Im PtqteadlMeeuave* hdmIm OaMOim

n r IM

de Parte,nndete

è l coibre TaMtReUa, «H

Elude de M ' « l a i e s M a ita v r il ls ,huissier k Senlis.

V E R I T EDE ^

MobilierU s ic o è ile iB « t H a i^ h a B M lI s c s

A SEN LIS,Le Liindi 8 Juillet 1872, k midi,

et jours suivants, ’En la demeure de M. V aiu .a rt, lirrmifk-

dier, Vieille-Riie^do-Paris. o* 13, Par U ministire de M* BAixtaKnr,

coffifnÙMtrr-pmeHr d Sentit.

VENTEDE

Récoltes su r^edEn avoiae, orge, seiglo, sainfoin et

pommes t a terres sur 21 pièces,A d r r H < > - V i i i e .Sur là place publique, •

Le Dimanclie 14 Jrillet 1 8 ^ ; k-pùdi, JPisr te miottlére dudi'f M* j.,NoLBVAUta-

Etude de H* H é aac A , huismer-pHrebrk ChlantUly»

Vcwle MohtlièrèParsdite'li'ù déi:è3 t a H** Colombier,

ACHANTIM.Y,Dans te' maison qu'élle Ifihitait,' Gnrmie

Rue. près l a ptebe du JM ra ié , lie DImncIte 14 Juillet, à une heure,

Par te tmhftfri-ê’thlilif H* IIéhet.

’ SPddrehet'

En ta iWBMl fl’Iw K «ta ftoéoy, . fa r le n in t i l i r . de U -B n tm ,aela ire ,U D im in '* ?M JO tpta 'lin» , 1(1 heure,

i l ne DlaiKou8 iu ta e lA « w . .. . . .

S’adressa audit H* p o w ” -

À V e n d r e m ü m T î e e K è r e e

Uh'bi^m MdbtltérTransféré t a Paris k lùm orlaye, tans

une d e s sa lla de l 'a u b ^ e de

heure.

A VENDhK AUX eNCÙ»S Iter suite de cfsoatioo d’exploitawân,

Diiuanclie 14 Juillet 1872, k midi, pf»> teM tatetife t a M* DhAMAi M d ire ,

te htériei de iGillanGamlariinl te Feème dè H. P é f ^ ,

AlA

Le Dimani.. ParUétikillIéte

l U b i C A n o i NwV'èù te ma^ilii'd*4ble,Sie 4 Août I '« 'h é 5 rib , siléte de M’ Blifem, sMàire,

DE

2 Pièces de’TeiTôlrtaiBréày.

BrEwIR,S'iilnWir Mdil M' m i ' '

M UlK.LeLm

itm M s r t h M M M f w i w

Muteoti, GntUges,Etablf, Jai?d,itir

nijleLe Jeudi 10 JniiTeli 1372, .àl

IfjtaT*.

M tciiw l, huissier k Neuilly- linC^rbnt (Aisne).

P q u riçap sed eta tajlte>li

aiin bon MobilierA NEUILI.Y,8AINT-F(I0NT, tn l’hhlel

*■' du la O o ix u'Or,.qtBffte par Ml 'MAtsâVit

par le minttUre dudit M'vlltMt;Le Dimanche 14 Juillet 1872^0 midi, le ^lënfléMam ilurtdi, et ' fes'DlinAhtlMs

teiiv2Wte; B’liyaH ènj> la‘iri»)WkHtte^^

notaire k Précy, D e iM a a d I e

Un Iroisicmc CIri'cS a c h a n t f a i r e l e s E x t r a i t s .

M* P r l h ^ a , avoué à Senlis, D ë M i i i i r i a

. U n S e u o h d C l r r cEM ùta 'IVoifiiièiiie dere.

i d e d e ) ! ' J . G a d i a , avoué k taillis

O n d è t ta te h k ie

Un Prtlil t'.lcrc.ÀR* hiaMehiea(« uolaire ù tanli.s,

l l e m M o r f e

Un Ipoisième clci-c;. jk*. A H b « r ( , , - o u é .h S«.lta,

pdblâliiflic ihi.CIci'cei un Pëiit €3ere«

ODmDMjTPli Æ 2 K f i C a a ! t e 5 B i t

de lam ea ifa’e |te» * * w iaal'aneter, pemM de hw wa ef

Htanirian

«t PaiOunnia.

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' W H i F u e B

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‘i f ô p i t à l g é n iS ra l d e S e r i ï i» .

■ A .««mire p«r «JillBaileBd»»‘t» 'd i ii iw ié * '« Ju n fc c 'Ir ts . '* dita'

Sur le terroir de9fbh*«heuflll lès

oùwréèis ■ta .lÿftta dii U 'y i ta e

, . . . .

CübigiaW à Mm, te

PhnrmaHuiVlflCENT A Senlia

rtftaaLta*

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